Vous êtes...
[[ Un homme ]]
[[ Une femme ]]RÉSUMÉ DE L'ÉPISODE 1
Pour consolider ses liens stratégiques avec le Nokanda, pays africain prospère et prometteur, la France a réalisé un investissement massif dans S.M.O, entreprise reine des réseaux télécoms et médias numériques nokandais.
La population nokandaise s'est enflammée à la faveur des réseaux sociaux, jugeant que la France cachait une manoeuvre de prise de contrôle de l'information du Nokanda. Malgré les tentatives de la France pour calmer le jeu, le trouble public a empiré jusqu'à l'apparition de l'ANTIVIRUS, collectif de hackers et de combattants voué à débarrasser le Nokanda de l'ingérence française.
Face à la menace cyber contre le web français et aux attentats menaçant de déstabiliser le Nokanda, la France a été appelée pour dépécher une opération de contre-terrorisme, MAMBA, dont vous êtes le commandant.
En repoussant les forces de l'ANTIVIRUS de la capitale et en les pourchassant dans leur région la plus fortifiée, la province du Mboasu au nord du pays, vous avez fait une découverte fracassante : le sol du Mboasu abrite un gisement exceptionnel de tritium, élément rarissime précieux pour la fusion nucléaire.
Vous tenez la preuve que l'agitation sociale du Nokanda et la montée de l'ANTIVIRUS n'étaient pas spontanées : quelqu'un était à la manoeuvre pour éliminer les investisseurs rivaux et monopoliser l'exploitation du tritium.
Etait-ce une puissance étrangère, ou bien l'Oligopole lui-même ? Vous ne pouvez qu'émettre des suppositions. Mais résoudre ce mystère n'est pas votre priorité. Pour le moment, votre mission est de mettre un terme aux activités de l'ANTIVIRUS.
[[ Rappel sur le Nokanda ]]
[[ Reprise des opérations ]]Le Nokanda est un nouvel État africain né de multipes flux migratoires et gouverné par un système unique au monde : l'Oligopole, un consortium d’entreprises transnationales.
Historiquement, le Nokanda était une terre propice à l'implantation et au développement d'entreprises, du fait de ses avantages fiscaux et sa localisation stratégique. Territoire avec un long littoral bénéfique pour le commerce, il est aussi situé sur l’équateur, idéal pour les lancements spatiaux.
Devenues prospères, les entreprises privées du pays se sont rapidement consolidées en formant l'Oligopole. Face à leurs performances indéniables, et à la faillite des gouvernements étatiques traditionnels dans toute la région, les habitants de Nokanda ont perdu confiance en ces derniers et ont communément exprimé leur volonté d'être dirigés par l'Oligopole.
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Le nouveau gouvernement est construit en silos, chaque entreprise administrant le pan de l'activité du pays correspondant à son expertise propre. Son efficacité en fait un motif de grande fierté pour les habitants du Nokanda.
Les populations autochtones (un tiers du pays) et les différentes communautés issues des flux migratoires cohabitent en paix et sont chacune représentées par un Délégué.
Les PDG de l'Oligopole et les Délégués des populations forment ainsi l'organe exécutif suprême du pays, le Conseil du Nokanda.
De nombreuses puissances mondiales rivalisent d'efforts et de dépenses pour investir dans l'Oligopole et consolider leurs liens avec ce pays prometteur. La France a rejoint tardivement la partie. Elle doit à la fois conduire des manoeuvres audacieuses, et tempérer l'hostilité des populations autochtones qui entretiennent un mauvais souvenir des ingérences françaises en Afrique et s'opposent fermement à son retour.
La France a particulièrement investit dans S.M.O., membre fondateur de l’Oligopole gérant les médias numériques (comme sa plateforme de microblogage Pima) et réseaux télécoms du pays.
Toute l'information du Nokanda dépend de S.M.O.
A la faveur du conflit contre l'ANTIVIRUS, un gisement massif de tritium a été découvert par la France dans le sol du Mboasu, province nord du Nokanda.
[[ Reprise des opérations ]]Cela fait deux mois que l’opération MAMBA poursuit ses efforts pour combattre l’ANTIVIRUS au Nokanda. Votre bataille contre leurs drones de combat sous le pic de chaleur n’a pas porté le coup décisif escompté : le conflit s’est enlisé.
La force de l’ANTIVIRUS réside dans son extrême agilité. A l’origine un rassemblement de groupes de hackers anti-ingérence, il en conserve une structure horizontale le rendant très souple et réactif. Il inclut également des guérilleros recyclant du matériel électronique en arsenal très efficace, comme leurs redoutables drones de combat. Cette combinaison de troupiers électroniques et de forces cyber dispersés dans tout le pays en fait une entité mouvante très difficile à contrer et à anticiper.
Mais cette horizontalité présente une faille. Sans commandement centralisé, il leur est difficile de conduire une vaste attaque coordonnée infligeant une défaite décisive à l’opération française. De même, un assaut intrépide et décisif impliquant des forces suffisamment puissantes pourrait amputer une cellule régionale de ses troupes physiques avant que le réseau n’ait le temps de réagir.
Et c’est exactement ce que vous avez décidé de conduire : un assaut intrépide et décisif. Votre cible est Mboasana, chef-lieu de la province du Mboasu et plus grande base ANTIVIRUS du pays. Contrôler la ville permettrait de sécuriser toute la province, et le gisement de tritium qui s’y trouve : cela dissuaderait la puissance inconnue de continuer à soutenir l’ANTIVIRUS, les condamnant à l’anémie.
Vous avez obtenu de l’Etat-major un renfort de troupes à cet effet : un bataillon d’élite vous sera prochainement envoyé pour attaquer Mboasana. Vos troupes régulières y conduisent déjà un siège, et une prise en tenaille aussi concentrée est sûre d’y défaire l’ANTIVIRUS.
Ces renforts seront composés des soldats les plus avancés que peut mobiliser le pays. Des escouades dernière génération dont vous avez participé vous-même à la conception…
[[ Souvenez-vous...]]De longues années auparavant, alors que vous veniez à peine d’endosser vos habits de conseiller spécial du Chef d’Etat-major des armées, celui-ci a fait appel à votre jugement sur une affaire de la plus haute importance.
L’Elysée et le ministère des Armées s’apprêtaient à choisir leur premier programme officiel de soldat augmenté.
L’augmentation des performances du combattant était depuis 2020 un sujet de réflexion intense des armées, et il avait atteint son pic d’ébullition ce jour-ci, alors que de nombreuses puissances officialisaient leurs propres programmes. En fonction des idéologies et des agendas, chacun prenait position pour l'une des trois stratégies suivantes : augmenter un soldat par des dispositifs externes, augmenter un soldat par des transformations internes, ou ne pas poursuivre la quête d’une augmentation artificielle.
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Trois programmes-scénarios complets avaient été définis par les autorités, et il était l’heure de choisir lequel adopter. Vous avez minutieusement passé en revue les trois avant de produire votre recommandation au CEMA.
PROGRAMME BATMAN
Le combattant augmenté est une arlésienne : trois combattants réguliers valent mieux qu’un combattant du futur. Les fonds doivent être investis dans une amélioration du niveau global des soldats.
- Formation pointue du personnel (coopération civile améliorée)
- Mise à niveau des équipements et grand nombre de robots
- Nombre élevé de soldats équipés
PROGRAMME IRON MAN
Le soldat doit être augmenté par des moyens externes. Ils seront nécessaires aux missions dangereuses et complexes de demain, mais ne doivent pas sacrifier l'éthique à la performance.
- Exosquelettes motorisés et armure lourde
- IA d'assistance à la décision
- Nombre faible de soldats équipés
PROGRAMME SPIDERMAN
Des solutions invasives à base d'implants et d'édition génétique doivent être étudiées. Des puissances rivales s'engageront à coup sûr dans cette voie : nous ne pouvons nous permettre d'être dépassés.
- Implants cerveau-machine améliorant la réactivité
- Sens améliorés par édition génétique légère
- Nombre moyen de soldats équipés
[[ Adopter le programme BATMAN]]
[[ Adopter le programme IRON MAN ]]
[[ Adopter le programme SPIDERMAN ]]
[Code : FISTICUFF]
Vous avez à l'époque recommandé le programme BATMAN, et le CEMA a suivi vos recommandations.
Vos renforts comporteront un grand nombre de soldats bien équipés et aux capacités d'intégration excellentes. Méfiez-vous des conditions de combat trop extrêmes.
[[ Suivant ]] [Code : OBADIAHSTANE]
Vous avez à l'époque recommandé le programme IRON MAN, et le CEMA a suivi vos recommandations.
Vos renforts comporteront un petit nombre de soldats robustes, dotés d'armures motorisées et d'assistants cognitifs. Prenez garde à ne pas manquer de place pour bouger !
[[ Suivant ]] [Code : FACEITTIGER]
Vous avez à l'époque recommandé le programme SPIDERMAN, et le CEMA a suivi vos recommandations.
Vos renforts comporteront un nombre correct de soldats aux facultés cognitives, sensorielles et physiques très supérieures. Attention, vos petites différences peuvent déranger certains.
[[ Suivant ]]Ces renforts arriveront dans un premier temps sur les côtes de l’Omolie, pays où la France dispose depuis longtemps d’une base militaire ultramoderne et d’un couloir aérien rapide et efficace. L’Omolie est la première destination de tout chargement logistique à destination de votre OPEX au Nokanda.
Vous devez choisir la voie que ces renforts prendront pour aller de l’Omolie à votre front. Ils doivent être déployés le plus discrètement possible pour que leur frappe bénéficie de l'effet de surprise, mais face à un ennemi aussi mouvant que l’ANTIVIRUS, tout retard peut conduire à un changement de configuration des forces ennemies.
Vous pouvez choisir une projection aérienne éclair, parachutant un maximum de soldats et de robots directement au cœur des positions ennemies au Mboasu pour un contact immédiat.
Vous pouvez également choisir une approche amphibie plus longue mais plus discrète : un transport par frégate furtive depuis notre base la plus proche en Omolie jusqu'au littoral du Mboasu.
Vous pouvez enfin faire accoster vos troupes en Aksum, votre allié diplomatique frontalier du Nokanda. De là, vos véhicules de transport de troupe rouleront au plus vite vers les positions de l’ANTIVIRUS dans la région du Mboasu, surprenant l’ennemi par un angle d'attaque inattendu.
[[ Choisir l'approche aérienne ]]
[[ Choisir l'approche terrestre ]]
[[ Choisir l'approche maritime ]][Code : WHITENOISE]
Après balayage électronique de l'espace aérien, un capitaine des transmissions vous informe qu'il sera impossible de conduire un parachutage d'une telle ampleur. Les pirates de l'ANTIVIRUS détournent les infrastructures télécom du pays pour créer un brouillage improvisé qui endommagerait vos robots et vos systèmes d'atterrissage avant même que vous ne touchiez le sol.
[[ Choisir l'approche terrestre ]]
[[ Choisir l'approche maritime ]][Code : NOTHINGPERSONAL]
Notre consultation d'un conseiller diplo-IA aksumite a débouché sur un refus formel de nous laisser passer par leur territoire. Cela leur ferait prendre directement parti dans le conflit : leur souci de la stabilité régionale les pousse à ne pas intervenir.
Malgré notre argument qu'il s'agit d'une offensive contre un groupe rebelle à l'autorité du gouvernement nokandais, l'Aksum n'a rien voulu entendre.
[[ Choisir l'approche aérienne ]]
[[ Choisir l'approche maritime ]][Code : STEAMBOATWILLIE]
La base française en Omolie acte réception de votre ordre. Des frégates furtives opérant dans les eaux alentoures sont réaffectées au transport express de vos renforts.
Les navires sont à la moitié du chemin vers les côtes nokandaises lorsque le renseignement militaire vous relaie une alerte grave : sur Pima, le réseau social de microblogage de S.M.O, un contributeur anonyme a relayé une vidéo tournée en Omolie prouvant notre débarquement prochain.
L'ennemi risque à tout moment de se saisir de l'information, et les nokandais pourraient percevoir des intentions néfastes dans l'arrivée sur leurs côtes d'une telle armada de troupes d'élite.
Nous devons réagir au plus vite pour éviter l'échec de l'opération.
[[ Nous devons faire pression sur S.M.O pour effacer le post au plus vite ]]
[[ Nous devons assumer l'opération et prendre la parole pour la légitimer ]]
[[ Nous devons saturer Pima d'informations sur d'autres opérations pour détourner l'attention ]][Code : SHADOW]
S.M.O réagit aussitôt pour supprimer la vidéo et faire effacer automatiquement ses reprises. Malheureusement, un utilisateur a eu le temps de la copier et de la diffuser sur d'autres réseaux : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Suivant]] [Code : SOWHAT]
Notre transparence a été récompensée : la communauté civile comprend notre opération et critique le lanceur d'alerte pour son manque de professionalisme et respect des informations classifiées.
Mais d'un point de vue tactique, le mal est fait : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Suivant]] [Code : BRUSSELCAT]
Un mélange d'images authentiques et de deepfakes relayés via des faux comptes vous permet de semer la confusion chez les internautes. Pima s'enflamme de théories sur la véracité de ces révélations, mais le flou général décrédibilise vos détracteurs.
Il vous faut cependant envisager que les cybercombattants de l'ANTIVIRUS n'ont pas été dupes et que leur troupes fomentent déjà une contre-attaque.
[[Suivant]] Plus réactif que jamais, l'ANTIVIRUS s'apprête à positionner ses troupes mixtes soldats-drones sur le littoral pour saboter votre abordage. Vous ne pouvez pas redéployer vos troupes locales pour défendre l'arrivée des renforts : ces derniers sont livrés à eux-mêmes.
Face à cette urgence tactique, vous décidez de recourir à un dispositif expérimental pour tirer vos troupes du pétrin.
La Direction Générale de l'Armement coordonne depuis plusieurs années le développement du Réseau Tactique Historique (RTH), un système d'intelligence artificielle râtissant un nombre incalculable de données ouvertes - topologie, plans, médias... - pour simuler et identifier des plans auxquels un stratège humain n'aurait jamais pu songer.
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Mais le RTH n'est pas encore parfaitement au point. La fiabilité de ses stratégies est élevée, mais loin d'être parfaite. De plus, son programme d'explicabilité (devant lui permettre de justifier ses analyses à un être humain) peine à formuler des phrases pleinement intelligibles.
Vous décidez malgré tout de tenter votre chance avec cette machine.
Après quelques heures d'analyse, le RTH vous propose l'action suivante : mettre en pause le déplacement des frégates et arrêter deux centrales à fusion françaises sur le territoire. Pour toute justification, un mot : "Papillon".
[[ Vous décidez de faire confiance au RTH et de suivre sa stratégie. ]]
[[ Vous décidez d'ignorer la stratégie saugrenue du RTH et de maintenir un débarquement en force. ]]
[[ Vous appliquez la stratégie du RTH mais maintenez le cap des frégates pour un débarquement en force. ]] [Code : BUTIBELIEVED]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases. Ils rappatrient en urgence leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire. Vos renforts ont le champ libre pour débarquer, et accostent au nez et à la barbe de l'ennemi.
[[ Suivant]]L'embuscade de l'ANTIVIRUS était bien plus sophistiquée que nous l'escomptions. Leurs drones explosifs improvisés et leurs relais cyber sont utilisés avec une efficacité meurtrière contre nos renforts en plein débarquement. La bataille tourne à la boucherie : c'est un échec majeur pour l'armée française, qui demeure coincée dans l'impasse face aux rebelles de l'ANTIVIRUS.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire. [Code : WHATYOUUPTO]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases, et prépare un rappatriementt en urgence de leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire.
Mais votre débarquement précipité est remarqué, et l'ennemi choisit de diviser ses forces pour lutter à la fois contre l'assaut maritime et le supposé assaut aérien. La bataille pour l'accostage s'engage : bien qu'en infériorité numérique critique, leurs soldats utilisent avec brio leur drones explosifs improvisés et leurs relais cyber. Nos renforts remportent une victoire à la pyrrhus.
[[ Suivant]]Embarquant à bord de VAB à méta-camouflage dernier cri, vos renforts mettent les gaz vers Mboasana, chef-lieu du Mboasu et place forte principale de l'ANTIVIRUS dans la région. Vos régiments réguliers y conduisent déjà un siège, et un assaut décisif des renforts pourrait permettre de s'emparer définitivement de la ville. S'ils y parviennent, les troupiers physiques de l'ANTIVIRUS seront arrêtés ou dispersés, et leurs cybercombattants seuls ne seront plus suffisants pour lutter contre vos forces au Mboasu. Ce serait une victoire critique pour l'opération MAMBA.
Le chemin le plus direct vers Mboasana passe par un terrain de ravins et de canyons. Vous aurez moins de chance d'y être repéré que par un détour dans les plaines, mais vous pourrez aussi tomber sur une mauvaise surprise à la croisée d'un chemin...
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[[ Suivant ]]Alors que la colonne de vos VAB progresse dans le dédale de ravins, elle tombe nez à nez avec une foule de civils. Elle occupe tout le passage, et il vous est impossible de la contourner. Vous ordonnez au capitaine de descendre leur demander le passage.
Le capitaine s'approche de la foule, flanqué d'une escouade. Les civils montrent des signes de tension intense. Beaucoup sont munis d'armes improvisées et certains brandissent des téléphones. Ils sont plus nombreux que vous. Il est difficile de déterminer s'ils sont hostiles à votre égard et s'apprêtent à vous attaquer, ou s'ils sont agités par un problème autre.
Les conditions sont défavorables : vous ne pouvez vous permettre qu'ils vous attaquent et vous coincent dans cette ravine, où ils pourront vous infliger des pertes significatives. Mais vous ne pouvez vous permettre non plus de les menacer inutilement.
[[ Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter.]]
[[ Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux.]]
[[ Grâce au programme BATMAN, tous vos hommes ont été formés pour connaître parfaitement la culture nokandaise : vous leur demandez d'interpréter le comportement de la population.]][Code : MENFIRST]
Les civils s'affollent et optempèrent, malgré des éruptions brèves de colère et d'hostilité chez certains. Quelques uns s'enfuient dans les sentiers alentours. La colonne de VAB traverse la foule, indemne, et reprend sa route vers Mboasana.
[[ Passer ]]
[Code : CHATTY]
Après un moment d'hésitation et quelques erreurs de langage, vous parvenez à comprendre que ces civils sont des exploitants d'un agrocomplexe, chassés par l'ANTIVIRUS qui a réquisitionné leurs locaux.
L'échange vous coûte un temps précieux pour la conduite de votre attaque future. Mais avant que vous ne repreniez votre chemin, les civils vous apprennent une nouvelle glaçante : des soldats étranges ont été vus à Mboasana, bien différents des troupes régulières de l'ANTIVIRUS. Les civils vous parlent d'implants mécaniques et d'yeux luisants.
[[ Suite ]][Code : BOOKWORM]
Les soldats de l'escouade parviennent à entendre et décrypter des murmures au sein de la foule. Deux mots semblent revenir régulièrement, déconnectés l'un de l'autre : "encore", "attendre".
L'escouade vous fait remarquer que leurs vêtements et leurs appareils électroniques sont de bonne facture, mais leurs armes très rudimentaires : elles n'ont pu être saisies que dans la précipitation.
[[ Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter.]]
[[ Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux.]]Votre colonne de VAB arrive sans encombre aux portes de Mboasana. Bien que l'ennemi se prépare à votre venue, vous jouissez encore d'un modeste effet de surprise : vous n'avez pas encore été repéré jusqu'ici.
Mboasana est la principale ville de la province du Mboasu. Elle comporte la plus forte agglomération de rebelles de l'ANTIVIRUS : de nombreuses escouades vous y attendent. Mais vos troupes régulières maintienent leur siège : si vos renforts frappent maintenant et fragilisent les défenses de la ville, vous pourrez la reprendre et sécuriser la province entière, et le gisement de tritium qu'elle abrite... mettant probablement un terme à ce conflit qui dépasse décidément de loin une simple guerre civile.
Vous devez maintenant décider de la façon de prendre d'assaut Mboasana. C'est une ville très dense qui s'étend même sous la surface du sol. Trois angles d'attaque s'offrent à vous :
Vous pouvez lancer vos troupes à l'assaut des rues : vous vous rendrez visible à des frappes de drones brutales et des tirs des immeubles, mais pourrez déployer vos propres drones et utiliser les VAB comme bouclier.
Vous pouvez également disperser vos troupes et investir les bâtiments un à un : la circulation sera difficile et le risque de combat au corps à corps très élevé, mais si vous parvenez à gagner la confiance des civils à l'intérieur, ils pourront vous indiquer des mouvements de troupes et des cibles stratégiques.
Vous pouvez enfin investir les souterrains : nul doute que l'ennemi y cache beaucoup d'équipement stratégique que vous pourrez détruire, et vous pourrez ressurgir en n'importe quel point de la ville. Mais vous devrez faire face à un risque de contact maximal en visibilité dégradée.
Votre aide de camp insiste sur le caractère décisif que cette attaque aura pour le reste du conflit. Il vous suggère de bien peser les forces de vos troupes en présence avant de vous décider.
[[ Vous lancez un assaut éclair en prenant les rues ]]
[[ Vous dispersez vos troupes dans les bâtiments ]]
[[ Vous vous infiltrez par les tunnels pour nettoyer les souterrains ]]L'information vous glace le sang. Elle indique la présence de combattants transhumains au coeur de Mboasana. Le Nokanda n'a pas de programme d'augmentation connu, encore moins d'augmentation militaire invasive. S'agit-il de mercenaires biohackers, ou de forces d'une puissance mondiale hostile ? Vous devrez les voir par vous même pour en avoir le coeur net.
Des yeux luisants et des implants... tout indique des soldats optimisés pour le combat rapproché dans des conditions de visibilité dégradée. Vous savez que Mboasana est une ville aux rues étroites, aux bâtiments serrés, et partiellement troglodyte : elle regorge d'espaces confinés et sombres où ces ennemis seraient particulièrement dangereux.
[[ Passer ]] [Code : RESERVES]
La puissance de feu que vous subissez dans les rues est pire que vous ne l'imaginiez. Les balles pleuvent depuis les hauteurs, les drones et robots terrestres vous assaillent de toute part, et vos soldats subissent des pertes malgré la protection des VAB. Leur nombre leur permet cependant de tenir bon.
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Soudain, un nuage immense aux reflets métalliques se dresse au-dessus de la ville et s'abat dans les rues. C'est un essaim de drones NV440, une arme militaire autonome de pointe. Il déferle sur vos troupes comme une lame de fond. La plupart de vos soldats restés exposés sont écorchés par la nuée de machines, mais nombreux sont ceux parvenant à se mettre à l'abri dans des immeubles ou des VAB, et contre-attaquent avec leurs propres drones de combat et canons de brouillages.
Vos renforts subissent des pertes lourdes, mais suffisamment de soldats tiennent bons pour mettre à terre l'essaim tueur et sécuriser les derniers points stratégiques de la ville.
[[ Victoire ! ]][Code : HELPFULTIP]
Les bâtiments constituent un excellent abri pour nos troupes, suffisamment nombreuses pour les investir et les sécuriser rapidement. Ils rassurent rapidement et efficacement les civils qu'ils croisent, et parviennent à recouper des témoignages de présence de soldats ennemis ou de sites stratégiques dans les bâtiments alentours. L'ANTIVIRUS est en panique face à cette vague de frappes chirurgicales les touchant depuis l'intérieur.
Sous peu, l'ANTIVIRUS est trop affaibli et destabilisé pour repousser vos forces régulières, qui sécurisent Mboasana.
[[ Victoire ! ]]Les accès conduisent vos soldats à un vaste réseau souterrain, une véritable ville sous la ville dont les halls et échoppes sont reliés par des couloirs tortueux. Vos soldats progressent pas à pas dans les tunnels, attentifs à ne pas tomber dans un piège.
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Soudain, vos soldats se font attaquer un par un par des ennemis non-identifiés, aussi furtifs que rapides. Ils frappent comme des ombres, et les massacrent un à un malgré leur nombre. Votre incompréhension est totale : aucun soldat régulier ne peut se mouvoir avec tant de facilité dans un environnement aussi sombre et étriqué.
Vous assistez impuissant à l'extermination méthodique de vos troupes, et à la fin de tout espoir de remporter le siège de Mboasana.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.La sécurisation des troupes de la ville révèle des éléments troublants. Le QG local de l'ANTIVIRUS disposait d'un essaim de drones tueurs NV440, des armes autonomes de pointe bien au-delà des capacités techniques du groupe rebelle. De même, vos forces ont mis en déroute dans les souterrains des soldats transhumains, munis d'augmentations sophistiquées et peu éthiques.
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La direction du renseignement militaire ne vous laisse pas place au doute : de telles contributions n'ont pu être fournies que par le Misaya, la puissance dominante de l'Asie.
Le Misaya est un investisseur de longue date dans les industries du Nokanda. Il développe également le programme énergétique le plus ambitieux au monde. Voilà un suspect de choix pour l'Etat ayant favorisé l'agitation des nokandais après le discours du Président et ayant soutenu l'émergence de l'ANTIVIRUS. Vous envisagez qu'ils soient également derrière la fuite de votre débarquement sur Pima.
La région du Mboasu est sécurisée, mais vous doutez que cela signe la fin de l'ANTIVIRUS : cette sombre révélation annonce l'implication de forces géopolitiques dépassant de loin une simple guerre civile. Le conflit risque de continuer, et vos renforts - grâce auxquels vous venez de remporter cette victoire décisive - ne seront pas de trop pour y faire face.
Suite au prochain épisode !Ces renforts arriveront dans un premier temps sur les côtes de l’Omolie, pays où la France dispose depuis longtemps d’une base militaire ultramoderne et d’un couloir aérien rapide et efficace. L’Omolie est la première destination de tout chargement logistique à destination de votre OPEX au Nokanda.
Vous devez choisir la voie que ces renforts prendront pour aller de l’Omolie à votre front. Ils doivent être déployés le plus discrètement possible pour que leur frappe bénéficie de l'effet de surprise, mais face à un ennemi aussi mouvant que l’ANTIVIRUS, tout retard peut conduire à un changement de configuration des forces ennemies.
Vous pouvez choisir une projection aérienne éclair, parachutant un maximum de soldats et de robots directement au cœur des positions ennemies au Mboasu pour un contact immédiat.
Vous pouvez également choisir une approche amphibie plus longue mais plus discrète : un transport par frégate furtive depuis notre base la plus proche en Omolie jusqu'au littoral du Mboasu.
Vous pouvez enfin faire accoster vos troupes en Aksum, votre allié diplomatique frontalier du Nokanda. De là, vos véhicules de transport de troupe rouleront au plus vite vers les positions de l’ANTIVIRUS dans la région du Mboasu, surprenant l’ennemi par un angle d'attaque inattendu.
[[Choisir l'approche aérienne]]
[[Choisir l'approche terrestre]]
[[Choisir l'approche maritime]]Ces renforts arriveront dans un premier temps sur les côtes de l’Omolie, pays où la France dispose depuis longtemps d’une base militaire ultramoderne et d’un couloir aérien rapide et efficace. L’Omolie est la première destination de tout chargement logistique à destination de votre OPEX au Nokanda.
Vous devez choisir la voie que ces renforts prendront pour aller de l’Omolie à votre front. Ils doivent être déployés le plus discrètement possible pour que leur frappe bénéficie de l'effet de surprise, mais face à un ennemi aussi mouvant que l’ANTIVIRUS, tout retard peut conduire à un changement de configuration des forces ennemies.
Vous pouvez choisir une projection aérienne éclair, parachutant un maximum de soldats et de robots directement au cœur des positions ennemies au Mboasu pour un contact immédiat.
Vous pouvez également choisir une approche amphibie plus longue mais plus discrète : un transport par frégate furtive depuis notre base la plus proche en Omolie jusqu'au littoral du Mboasu.
Vous pouvez enfin faire accoster vos troupes en Aksum, votre allié diplomatique frontalier du Nokanda. De là, vos véhicules de transport de troupe rouleront au plus vite vers les positions de l’ANTIVIRUS dans la région du Mboasu, surprenant l’ennemi par un angle d'attaque inattendu.
[[ Choisir l'approche aérienne]]
[[ Choisir l'approche terrestre]]
[[ Choisir l'approche maritime]][Code : WHITENOISE]
Après balayage électronique de l'espace aérien, un capitaine des transmissions vous informe qu'il sera impossible de conduire un parachutage d'une telle ampleur. Les pirates de l'ANTIVIRUS détournent les infrastructures télécom du pays pour créer un brouillage improvisé qui endommagerait vos robots et vos systèmes d'atterrissage avant même que vous ne touchiez le sol.
[[Choisir l'approche terrestre]]
[[Choisir l'approche maritime]][Code : NOTHINGPERSONAL]
Notre consultation d'un conseiller diplo-IA aksumite a débouché sur un refus formel de nous laisser passer par leur territoire. Cela leur ferait prendre directement parti dans le conflit : leur souci de la stabilité régionale les pousse à ne pas intervenir.
Malgré notre argument qu'il s'agit d'une offensive contre un groupe rebelle à l'autorité du gouvernement nokandais, l'Aksum n'a rien voulu entendre.
[[Choisir l'approche aérienne]]
[[Choisir l'approche maritime]][Code : STEAMBOATWILLIE]
La base française en Omolie acte réception de votre ordre. Des frégates furtives opérant dans les eaux alentoures sont réaffectées au transport express de vos renforts.
Les navires sont à la moitié du chemin vers les côtes nokandaises lorsque le renseignement militaire vous relaie une alerte grave : sur Pima, le réseau social de microblogage de S.M.O, un contributeur anonyme a relayé une vidéo tournée en Omolie prouvant notre débarquement prochain.
L'ennemi risque à tout moment de se saisir de l'information, et les nokandais pourraient percevoir des intentions néfastes dans l'arrivée sur leurs côtes d'une telle armada de troupes d'élite.
Nous devons réagir au plus vite pour éviter l'échec de l'opération.
[[Nous devons faire pression sur S.M.O pour effacer le post au plus vite]]
[[Nous devons assumer l'opération et prendre la parole pour la légitimer]]
[[Nous devons saturer Pima d'informations sur d'autres opérations pour détourner l'attention]][Code : SHADOW]
S.M.O réagit aussitôt pour supprimer la vidéo et faire effacer automatiquement ses reprises. Malheureusement, un utilisateur a eu le temps de la copier et de la diffuser sur d'autres réseaux : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Suivre]][Code : SOWHAT]
Notre transparence a été récompensée : la communauté civile comprend notre opération et critique le lanceur d'alerte pour son manque de professionalisme et respect des informations classifiées.
Mais d'un point de vue tactique, le mal est fait : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Suivre]] [Code : BRUSSELCAT]
Un mélange d'images authentiques et de deepfakes relayés via des faux comptes vous permet de semer la confusion chez les internautes. Pima s'enflamme de théories sur la véracité de ces révélations, mais le flou général décrédibilise vos détracteurs.
Il vous faut cependant envisager que les cybercombattants de l'ANTIVIRUS n'ont pas été dupes et que leur troupes fomentent déjà une contre-attaque.
[[Suivre]] Plus réactif que jamais, l'ANTIVIRUS s'apprête à positionner ses troupes mixtes soldats-drones sur le littoral pour saboter votre abordage. Vous ne pouvez pas redéployer vos troupes locales pour défendre l'arrivée des renforts : ces derniers sont livrés à eux-mêmes.
Face à cette urgence tactique, vous décidez de recourir à un dispositif expérimental pour tirer vos troupes du pétrin.
La Direction Générale de l'Armement coordonne depuis plusieurs années le développement du Réseau Tactique Historique (RTH), un système d'intelligence artificielle râtissant un nombre incalculable de données ouvertes - topologie, plans, médias... - pour simuler et identifier des plans auxquels un stratège humain n'aurait jamais pu songer.
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/01/210401073437145739.png>
</div>
Mais le RTH n'est pas encore parfaitement au point. La fiabilité de ses stratégies est élevée, mais loin d'être parfaite. De plus, son programme d'explicabilité (devant lui permettre de justifier ses analyses à un être humain) peine à formuler des phrases pleinement intelligibles.
Vous décidez malgré tout de tenter votre chance avec cette machine.
Après quelques heures d'analyse, le RTH vous propose l'action suivante : mettre en pause le déplacement des frégates et arrêter deux centrales à fusion françaises sur le territoire. Pour toute justification, un mot : "Papillon".
[[Vous décidez de faire confiance au RTH et de suivre sa stratégie. ]]
[[ Vous décidez d'ignorer la stratégie saugrenue du RTH et de maintenir un débarquement en force.]]
[[Vous appliquez la stratégie du RTH mais maintenez le cap des frégates pour un débarquement en force.]][Code : BUTIBELIEVED]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases. Ils rappatrient en urgence leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire. Vos renforts ont le champ libre pour débarquer, et accostent au nez et à la barbe de l'ennemi.
[[ Suivre]](align:"<==>")+(box:"X=")[ L'embuscade de l'ANTIVIRUS était bien plus sophistiquée que nous l'escomptions. Leurs drones explosifs improvisés et leurs relais cyber sont utilisés avec une efficacité meurtrière contre nos renforts en plein débarquement. La bataille tourne à la boucherie : c'est un échec majeur pour l'armée française, qui demeure coincée dans l'impasse face aux rebelles de l'ANTIVIRUS.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.][Code : WHATYOUUPTO]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases, et prépare un rappatriementt en urgence de leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire.
Mais votre débarquement précipité est remarqué, et l'ennemi choisit de diviser ses forces pour lutter à la fois contre l'assaut maritime et le supposé assaut aérien. La bataille pour l'accostage s'engage : bien qu'en infériorité numérique critique, leurs soldats utilisent avec brio leur drones explosifs improvisés et leurs relais cyber. Nos renforts remportent une victoire à la pyrrhus.
[[ Suivre]]Embarquant à bord de VAB à méta-camouflage dernier cri, vos renforts mettent les gaz vers Mboasana, chef-lieu du Mboasu et place forte principale de l'ANTIVIRUS dans la région. Vos régiments réguliers y conduisent déjà un siège, et un assaut décisif des renforts pourrait permettre de s'emparer définitivement de la ville. S'ils y parviennent, les troupiers physiques de l'ANTIVIRUS seront arrêtés ou dispersés, et leurs cybercombattants seuls ne seront plus suffisants pour lutter contre vos forces au Mboasu. Ce serait une victoire critique pour l'opération MAMBA.
Le chemin le plus direct vers Mboasana passe par un terrain de ravins et de canyons. Vous aurez moins de chance d'y être repéré que par un détour dans les plaines, mais vous pourrez aussi tomber sur une mauvaise surprise à la croisée d'un chemin...
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<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/01/210401073433403522.png>
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[[ Suivre ]]Alors que la colonne de vos VAB progresse dans le dédale de ravins, elle tombe nez à nez avec une foule de civils. Elle occupe tout le passage, et il vous est impossible de la contourner. Vous ordonnez au capitaine de descendre leur demander le passage.
Le capitaine s'approche de la foule, flanqué d'une escouade. Les civils montrent des signes de tension intense. Beaucoup sont munis d'armes improvisées et certains brandissent des téléphones. Ils sont plus nombreux que vous. Il est difficile de déterminer s'ils sont hostiles à votre égard et s'apprêtent à vous attaquer, ou s'ils sont agités par un problème autre.
Les conditions sont défavorables : vous ne pouvez vous permettre qu'ils vous attaquent et vous coincent dans cette ravine, où ils pourront vous infliger des pertes significatives. Mais vous ne pouvez vous permettre non plus de les menacer inutilement.
[[Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter.]]
[[Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux.]]
[[Les soldats augmentés du programme IRON MAN disposent d'IA d'assistance décisionnelle dernier cri. Vous leur demandez de conduire un scan visuel de la foule.]][Code : MENFIRST]
Les civils s'affollent et optempèrent, malgré des éruptions brèves de colère et d'hostilité chez certains. Quelques uns s'enfuient dans les sentiers alentours. La colonne de VAB traverse la foule, indemne, et reprend sa route vers Mboasana.
[[ Passer]][Code : CHATTY]
Après un moment d'hésitation et quelques erreurs de langage, vous parvenez à comprendre que ces civils sont des exploitants d'un agrocomplexe, chassés par l'ANTIVIRUS qui a réquisitionné leurs locaux.
L'échange vous coûte un temps précieux pour la conduite de votre attaque future. Mais avant que vous ne repreniez votre chemin, les civils vous apprennent une nouvelle glaçante : des soldats étranges ont été vus à Mboasana, bien différents des troupes régulières de l'ANTIVIRUS. Les civils vous parlent d'implants mécaniques et d'yeux luisants.
[[ Suite]][Code : JARVIS]
L'IA embarquée d'analye humaine Hermès conduit un scan facial et gestuel de la foule. Ce dernier coûte quelques minutes à votre équipe. La foule montre des signes d'impatience et d'agitation.
L'algorithme déduit de leur langage corporelle une fatigue et une détresse prononcées.
[[Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter.]]
[[Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux.]]Votre colonne de VAB arrive sans encombre aux portes de Mboasana. Bien que l'ennemi se prépare à votre venue, vous jouissez encore d'un modeste effet de surprise : vous n'avez pas encore été repéré jusqu'ici.
Mboasana est la principale ville de la province du Mboasu. Elle comporte la plus forte agglomération de rebelles de l'ANTIVIRUS : de nombreuses escouades vous y attendent. Mais vos troupes régulières maintienent leur siège : si vos renforts frappent maintenant et fragilisent les défenses de la ville, vous pourrez la reprendre et sécuriser la province entière, et le gisement de tritium qu'elle abrite... mettant probablement un terme à ce conflit qui dépasse décidément de loin une simple guerre civile.
Vous devez maintenant décider de la façon de prendre d'assaut Mboasana. C'est une ville très dense qui s'étend même sous la surface du sol. Trois angles d'attaque s'offrent à vous :
Vous pouvez lancer vos troupes à l'assaut des rues : vous vous rendrez visible à des frappes de drones brutales et des tirs des immeubles, mais pourrez déployer vos propres drones et utiliser les VAB comme bouclier.
Vous pouvez également disperser vos troupes et investir les bâtiments un à un : la circulation sera difficile et le risque de combat au corps à corps très élevé, mais si vous parvenez à gagner la confiance des civils à l'intérieur, ils pourront vous indiquer des mouvements de troupes et des cibles stratégiques.
Vous pouvez enfin investir les souterrains : nul doute que l'ennemi y cache beaucoup d'équipement stratégique que vous pourrez détruire, et vous pourrez ressurgir en n'importe quel point de la ville. Mais vous devrez faire face à un risque de contact maximal en visibilité dégradée.
Votre aide de camp insiste sur le caractère décisif que cette attaque aura pour le reste du conflit. Il vous suggère de bien peser les forces de vos troupes en présence avant de vous décider.
[[Vous lancez un assaut éclair en prenant les rues ]]
[[Vous dispersez vos troupes dans les bâtiments ]]
[[Vous vous infiltrez par les tunnels pour nettoyer les souterrains ]]L'information vous glace le sang. Elle indique la présence de combattants transhumains au coeur de Mboasana. Le Nokanda n'a pas de programme d'augmentation connu, encore moins d'augmentation militaire invasive. S'agit-il de mercenaires biohackers, ou de forces d'une puissance mondiale hostile ? Vous devrez les voir par vous même pour en avoir le coeur net.
Des yeux luisants et des implants... tout indique des soldats optimisés pour le combat rapproché dans des conditions de visibilité dégradée. Vous savez que Mboasana est une ville aux rues étroites, aux bâtiments serrés, et partiellement troglodyte : elle regorge d'espaces confinés et sombres où ces ennemis seraient particulièrement dangereux.
[[ Passer]] [Code : FULLMETAL]
La puissance de feu que vous subissez dans les rues est pire que vous ne l'imaginiez. Les balles pleuvent depuis les hauteurs, les drones et robots terrestres vous assaillent de toute part. Mais la résilience de vos soldats augmentés et la réactivité de leurs assistants cognitifs leur permettent de progresser sous la mitraille et de sécuriser un à un les objectifs stratégiques clés de la ville.
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/05/210405110218730444.png>
</div>
Soudain, un nuage immense aux reflets métalliques se dresse au-dessus de la ville et s'abat dans les rues. C'est un essaim de drones NV440, une arme militaire autonome de pointe. Il déferle sur vos troupes comme une lame de fond, mais se fracasse contre l’armure lourde de vos soldats. Certains sont tailladés, mais la plupart tiennent le coup et ripostent avec leurs propres drones neurocommandés. La nuée tueuse est peu à peu élaguée, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus assez dense pour empêcher la prise des derniers points clés de la ville.
[[ Victoire ! ]] L'avancée de vos soldats augmentés dans les bâtiments est maladroite. Leur équipement n'est pas adapté à la circulation dans les pièces et couloirs étriqués des appartements de Mboasana. Même si leurs drones et robots terrestres font un excellent travail d'éclaireur, ils ne peuvent donner toute leur pleine mesure d'unité de soutien dans un espace aussi réduit.
Les habitants paniquent en voyant débarquer chez eux des soldats aussi lourdement équipés, et sont incapables de vous fournir des indices tactiques clairs. Trop peu nombreux pour investir autant d'habitations et empêtrés dans un espace inadapté, vos soldats se font prendre en embuscade un à un par les troupiers de l'ANTIVIRUS. Vous assistez impuissant à l'enlisement de vos troupes, et à la fin de tout espoir de remporter le siège de Mboasana.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : STEELANDFLESH]
Les accès conduisent vos soldats à un vaste réseau souterrain, une véritable ville sous la ville dont les halls et échoppes sont reliés par des couloirs tortueux. Vos soldats progressent pas à pas dans les tunnels, aidés par leurs senseurs et leurs IA à repérer les pièges.
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<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/05/210405110219207860.jpg>
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Soudain, vos soldats se font attaquer un par un par des ennemis non-identifiés, aussi furtifs que rapides. Ils frappent comme des ombres, et mettent quelques uns de vos hommes à terre malgré leur armure lourde. Aucun soldat régulier ne peut se mouvoir avec tant de facilité dans un environnement aussi sombre et étriqué : vous avez affaire à des combattants transhumains, optimisés pour le combat au corps à corps en environnement confiné.
La résilience de vos soldats augmentés et la réactivité de leurs assistants cognitifs leur permettent de tenir bon face à l'assaut de cet ennemi modifié et en avantage numérique. De nombeux soldats sont incapacités, mais ceux d'en face sont mis en déroute. Les souterrains sont à vous, et l'ANTIVIRUS n'a bientôt plus les moyens d'empêcher vos forces régulières de sécuriser Mboasana.
[[ Victoire ! ]][Code : WHITENOISE]
Après balayage électronique de l'espace aérien, un capitaine des transmissions vous informe qu'il sera impossible de conduire un parachutage d'une telle ampleur. Les pirates de l'ANTIVIRUS détournent les infrastructures télécom du pays pour créer un brouillage improvisé qui endommagerait vos robots et vos systèmes d'atterrissage avant même que vous ne touchiez le sol.
[[ Choisir l'approche terrestre]]
[[ Choisir l'approche maritime]][Code : NOTHINGPERSONAL]
Notre consultation d'un conseiller diplo-IA aksumite a débouché sur un refus formel de nous laisser passer par leur territoire. Cela leur ferait prendre directement parti dans le conflit : leur souci de la stabilité régionale les pousse à ne pas intervenir.
Malgré notre argument qu'il s'agit d'une offensive contre un groupe rebelle à l'autorité du gouvernement nokandais, l'Aksum n'a rien voulu entendre.
[[ Choisir l'approche aérienne]]
[[ Choisir l'approche maritime]][Code : STEAMBOATWILLIE]
La base française en Omolie acte réception de votre ordre. Des frégates furtives opérant dans les eaux alentoures sont réaffectées au transport express de vos renforts.
Les navires sont à la moitié du chemin vers les côtes nokandaises lorsque le renseignement militaire vous relaie une alerte grave : sur Pima, le réseau social de microblogage de S.M.O, un contributeur anonyme a relayé une vidéo tournée en Omolie prouvant notre débarquement prochain.
L'ennemi risque à tout moment de se saisir de l'information, et les nokandais pourraient percevoir des intentions néfastes dans l'arrivée sur leurs côtes d'une telle armada de troupes d'élite.
Nous devons réagir au plus vite pour éviter l'échec de l'opération.
[[ Nous devons faire pression sur S.M.O pour effacer le post au plus vite]]
[[ Nous devons assumer l'opération et prendre la parole pour la légitimer]]
[[ Nous devons saturer Pima d'informations sur d'autres opérations pour détourner l'attention]][Code : SHADOW]
S.M.O réagit aussitôt pour supprimer la vidéo et faire effacer automatiquement ses reprises. Malheureusement, un utilisateur a eu le temps de la copier et de la diffuser sur d'autres réseaux : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Passer]][Code : SOWHAT]
Notre transparence a été récompensée : la communauté civile comprend notre opération et critique le lanceur d'alerte pour son manque de professionalisme et respect des informations classifiées.
Mais d'un point de vue tactique, le mal est fait : l'ANTIVIRUS est au courant de votre arrivée. Préparez-vous à une contre-attaque.
[[Passer]] [Code : BRUSSELCAT]
Un mélange d'images authentiques et de deepfakes relayés via des faux comptes vous permet de semer la confusion chez les internautes. Pima s'enflamme de théories sur la véracité de ces révélations, mais le flou général décrédibilise vos détracteurs.
Il vous faut cependant envisager que les cybercombattants de l'ANTIVIRUS n'ont pas été dupes et que leur troupes fomentent déjà une contre-attaque.
[[Passer]] Plus réactif que jamais, l'ANTIVIRUS s'apprête à positionner ses troupes mixtes soldats-drones sur le littoral pour saboter votre abordage. Vous ne pouvez pas redéployer vos troupes locales pour défendre l'arrivée des renforts : ces derniers sont livrés à eux-mêmes.
Face à cette urgence tactique, vous décidez de recourir à un dispositif expérimental pour tirer vos troupes du pétrin.
La Direction Générale de l'Armement coordonne depuis plusieurs années le développement du Réseau Tactique Historique (RTH), un système d'intelligence artificielle râtissant un nombre incalculable de données ouvertes - topologie, plans, médias... - pour simuler et identifier des plans auxquels un stratège humain n'aurait jamais pu songer.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/01/210401073437145739.png>
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Mais le RTH n'est pas encore parfaitement au point. La fiabilité de ses stratégies est élevée, mais loin d'être parfaite. De plus, son programme d'explicabilité (devant lui permettre de justifier ses analyses à un être humain) peine à formuler des phrases pleinement intelligibles.
Vous décidez malgré tout de tenter votre chance avec cette machine.
Après quelques heures d'analyse, le RTH vous propose l'action suivante : mettre en pause le déplacement des frégates et arrêter deux centrales à fusion françaises sur le territoire. Pour toute justification, un mot : "Papillon".
[[Vous décidez de faire confiance au RTH et de suivre sa stratégie.]]
[[Vous décidez d'ignorer la stratégie saugrenue du RTH et de maintenir un débarquement en force. ]]
[[Vous appliquez la stratégie du RTH mais maintenez le cap des frégates pour un débarquement en force .]][Code : BUTIBELIEVED]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases. Ils rappatrient en urgence leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire. Vos renforts ont le champ libre pour débarquer, et accostent au nez et à la barbe de l'ennemi.
[[ Passer ]]L'embuscade de l'ANTIVIRUS était bien plus sophistiquée que nous l'escomptions. Leurs drones explosifs improvisés et leurs relais cyber sont utilisés avec une efficacité meurtrière contre nos renforts en plein débarquement. La bataille tourne à la boucherie : c'est un échec majeur pour l'armée française, qui demeure coincée dans l'impasse face aux rebelles de l'ANTIVIRUS.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : WHATYOUUPTO]
L'arrêt des deux centrales françaises cause une interruption temporaire d'un pan du réseau télécom de S.M.O qu'elles alimentaient. Ce réseau infrastructurel était piraté par l'ANTIVIRUS pour diffuser un brouillage capable de saboter tout système électronique à moyenne altitude.
L'ANTIVIRUS voit dans cette coupure momentanée un acte de sabotage français préparant un parachutage directement sur leurs bases, et prépare un rappatriementt en urgence de leurs troupiers du littoral pour se défendre contre la menace imaginaire.
Mais votre débarquement précipité est remarqué, et l'ennemi choisit de diviser ses forces pour lutter à la fois contre l'assaut maritime et le supposé assaut aérien. La bataille pour l'accostage s'engage : bien qu'en infériorité numérique critique, leurs soldats utilisent avec brio leur drones explosifs improvisés et leurs relais cyber. Nos renforts remportent une victoire à la pyrrhus.
[[ Passer ]]Embarquant à bord de VAB à méta-camouflage dernier cri, vos renforts mettent les gaz vers Mboasana, chef-lieu du Mboasu et place forte principale de l'ANTIVIRUS dans la région. Vos régiments réguliers y conduisent déjà un siège, et un assaut décisif des renforts pourrait permettre de s'emparer définitivement de la ville. S'ils y parviennent, les troupiers physiques de l'ANTIVIRUS seront arrêtés ou dispersés, et leurs cybercombattants seuls ne seront plus suffisants pour lutter contre vos forces au Mboasu. Ce serait une victoire critique pour l'opération MAMBA.
Le chemin le plus direct vers Mboasana passe par un terrain de ravins et de canyons. Vous aurez moins de chance d'y être repéré que par un détour dans les plaines, mais vous pourrez aussi tomber sur une mauvaise surprise à la croisée d'un chemin...
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<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/01/210401073433403522.png>
</div>
[[ Passer ]]Alors que la colonne de vos VAB progresse dans le dédale de ravins, elle tombe nez à nez avec une foule de civils. Elle occupe tout le passage, et il vous est impossible de la contourner. Vous ordonnez au capitaine de descendre leur demander le passage.
Le capitaine s'approche de la foule, flanqué d'une escouade. Les civils montrent des signes de tension intense. Beaucoup sont munis d'armes improvisées et certains brandissent des téléphones. Ils sont plus nombreux que vous. Il est difficile de déterminer s'ils sont hostiles à votre égard et s'apprêtent à vous attaquer, ou s'ils sont agités par un problème autre.
Les conditions sont défavorables : vous ne pouvez vous permettre qu'ils vous attaquent et vous coincent dans cette ravine, où ils pourront vous infliger des pertes significatives. Mais vous ne pouvez vous permettre non plus de les menacer inutilement.
[[Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter. ]]
[[Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux. ]]
[[Le programme SPIDERMAN amplifie considérablement l'odorat des soldats. Vous leur demandez de sentir - littéralement - l'état de la foule.]][Code : MENFIRST]
Les civils s'affollent et optempèrent, malgré des éruptions brèves de colère et d'hostilité chez certains. Quelques uns s'enfuient dans les sentiers alentours. La colonne de VAB traverse la foule, indemne, et reprend sa route vers Mboasana.
[[ Suivre ]][Code : CHATTY]
Après un moment d'hésitation et quelques erreurs de langage, vous parvenez à comprendre que ces civils sont des exploitants d'un agrocomplexe, chassés par l'ANTIVIRUS qui a réquisitionné leurs locaux.
L'échange vous coûte un temps précieux pour la conduite de votre attaque future. Mais avant que vous ne repreniez votre chemin, les civils vous apprennent une nouvelle glaçante : des soldats étranges ont été vus à Mboasana, bien différents des troupes régulières de l'ANTIVIRUS. Les civils vous parlent d'implants mécaniques et d'yeux luisants.
[[Suite ]][Code : WOLVERINE]
Le nez surpuissant et les circuits neuronaux de stimulation olfactive permettent à vos soldats d'analyser les phéromones émises par la foule. Ils sont unanime : l'air empeste de l'odeur de la peur.
[[Vous ne pouvez risquer la vie de vos hommes. Vous ordonez au capitaine d'adopter une position défense et de les sommer de s'écarter. ]]
[[Vous ordonnez au capitaine de baisser les armes et de s'approcher pour parler avec eux. ]]Votre colonne de VAB arrive sans encombre aux portes de Mboasana. Bien que l'ennemi se prépare à votre venue, vous jouissez encore d'un modeste effet de surprise : vous n'avez pas encore été repéré jusqu'ici.
Mboasana est la principale ville de la province du Mboasu. Elle comporte la plus forte agglomération de rebelles de l'ANTIVIRUS : de nombreuses escouades vous y attendent. Mais vos troupes régulières maintienent leur siège : si vos renforts frappent maintenant et fragilisent les défenses de la ville, vous pourrez la reprendre et sécuriser la province entière, et le gisement de tritium qu'elle abrite... mettant probablement un terme à ce conflit qui dépasse décidément de loin une simple guerre civile.
Vous devez maintenant décider de la façon de prendre d'assaut Mboasana. C'est une ville très dense qui s'étend même sous la surface du sol. Trois angles d'attaque s'offrent à vous :
Vous pouvez lancer vos troupes à l'assaut des rues : vous vous rendrez visible à des frappes de drones brutales et des tirs des immeubles, mais pourrez déployer vos propres drones et utiliser les VAB comme bouclier.
Vous pouvez également disperser vos troupes et investir les bâtiments un à un : la circulation sera difficile et le risque de combat au corps à corps très élevé, mais si vous parvenez à gagner la confiance des civils à l'intérieur, ils pourront vous indiquer des mouvements de troupes et des cibles stratégiques.
Vous pouvez enfin investir les souterrains : nul doute que l'ennemi y cache beaucoup d'équipement stratégique que vous pourrez détruire, et vous pourrez ressurgir en n'importe quel point de la ville. Mais vous devrez faire face à un risque de contact maximal en visibilité dégradée.
Votre aide de camp insiste sur le caractère décisif que cette attaque aura pour le reste du conflit. Il vous suggère de bien peser les forces de vos troupes en présence avant de vous décider.
[[ Vous lancez un assaut éclair en prenant les rues]]
[[ Vous dispersez vos troupes dans les bâtiments]]
[[ Vous vous infiltrez par les tunnels pour nettoyer les souterrains]]L'information vous glace le sang. Elle indique la présence de combattants transhumains au coeur de Mboasana. Le Nokanda n'a pas de programme d'augmentation connu, encore moins d'augmentation militaire invasive. S'agit-il de mercenaires biohackers, ou de forces d'une puissance mondiale hostile ? Vous devrez les voir par vous même pour en avoir le coeur net.
Des yeux luisants et des implants... tout indique des soldats optimisés pour le combat rapproché dans des conditions de visibilité dégradée. Vous savez que Mboasana est une ville aux rues étroites, aux bâtiments serrés, et partiellement troglodyte : elle regorge d'espaces confinés et sombres où ces ennemis seraient particulièrement dangereux.
[[ Suivre ]] La puissance de feu que vous subissez dans les rues est pire que vous ne l'imaginiez. Les balles pleuvent depuis les hauteurs, les drones et robots terrestres vous assaillent de toute part, et vos soldats subissent des pertes malgré la protection des VAB. Leur réactivité supérieure leur permet de tenir le coup, mais ils restent dangereusement exposés.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/05/210405110218730444.png>
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Soudain, un nuage immense aux reflets métalliques se dresse au-dessus de la ville et s'abat dans les rues. C'est un essaim de drones NV440, une arme militaire autonome de pointe. Il déferle sur vos troupes comme une lame de fond. La plupart de vos soldats restés exposés sont écorchés par la nuée de machines, mais nombreux sont ceux parvenant à se mettre à l'abri dans des immeubles ou des VAB, et contre-attaquent avec leurs propres drones de combat et canons de brouillages.
Malgré leurs facultés supérieures, vos survivants ne sont plus assez nombreux pour faire face à la marée tueuse et aux rebelles de l'ANTIVIRUS cachés dans les bâtiments. Assaillis de toute part, ils périssent jusqu'au dernier. Vous assistez impuissant à l'annihilation de vos troupes, et à la fin de tout espoir de remporter le siège de Mboasana.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : YAMAKAZI]
Les bâtiments constituent un excellent abri pour nos soldats augmentés. Bien que les habitants paniquent en voyant débarquer chez eux des soldats aussi étranges, et sont incapables de vous fournir des indices tactiques clairs, l'agilité supérieure de vos combattants leur permet de progresser très rapidement d'un bâtiment à l'autre. Les affrontements au corps à corps contre des troupiers de l'ANTIVIRUS croisés par surprise vous valent des blessés, mais vous parvenez tout de même à sécuriser les objectifs stratégiques de la ville.
L'ANTIVIRUS est en panique face à cette vague de frappes chirurgicales les touchant depuis l'intérieur, et n'a bientôt plus les moyens d'empêcher vos forces régulières de sécuriser Mboasana.
[[ Victoire ! ]] [Code : FRATRICIDE]
Les accès conduisent vos soldats à un vaste réseau souterrain, une véritable ville sous la ville dont les halls et échoppes sont reliés par des couloirs tortueux. Vos soldats progressent sans encombre dans ces tunnels, leurs sens et leur réactivité améliorée leur permettant d'éviter les pièges et de rester furtifs.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/05/210405110219207860.jpg>
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Vos soldats tombent soudain sur des ennemis bien semblables : des combattants transhumains, optimisés pour le combat au corps à corps en environnement confiné. Leurs bio-augmentations sont de toute évidence de qualité militaire : vous vous demandez bien comment une force non-étatique comme l'ANTIVIRUS peut en disposer !
Ils ne vous ont cependant pas encore remarqué : ordre est donné de les attaquer en premier.
Leurs augmentations sont redoutablement efficaces, mais ne sont pas à la hauteur des vôtres, ni de l'entraînement et de l'intégration rigoureuse dont vos soldats ont bénéficié. Un à un, les combattants augmentés ennemis sont repoussés. Cette victoire décisive vous accorde le contrôle des souterrains, et l'ANTIVIRUS n'a bientôt plus les moyens d'empêcher vos forces régulières de sécuriser Mboasana.
[[ Victoire ! ]]Salutations, mon colonel.
Dans ce second épisode d'Une Mission Dont Vous Etes Le Héros, vous contrôlerez un régiment combattants de dernière génération chargés de mener une mission vitale pour stabiliser le Nokanda.
Vous devrez prendre des décisions opérationnelles et savoir trouver le bon équilibre sur les plans stratégiques, technologiques, géopolitiques.
Même si vous êtes très sûr de vous et confiants en vos hommes et ressources, n’oubliez pas le support mais aussi les vulnérabilités que peut vous donner la technologie.
Pesez vos décisions avant de les prendre. Le monde regarde attentivement ce conflit et certaines actions peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la scène internationale.
Votre carrière brillante vous a ouvert l'accès à un poste de choix comme conseiller spécial du Chef d'Etat-major des Armées françaises, qui tend une oreille attentive à vos recommandations. En début d'épisode, vous pourrez ainsi orienter des actions stratégiques globales ou des choix de doctrine. Profitez de cette opportunité, elle orientera vos possibilités une fois sur le terrain.
Après chaque décision, un code vous sera donné en début de paragraphe. Nous vous invitons à le noter soigneusement. A la fin de votre partie, veuillez envoyer votre liste de codes à l'adresse communaute@jeunes-ihedn.org : nous évaluerons vos choix et révèlerons, le dimanche 11 avril 2021, les gagnants du Challenge du Turfu.
Maintenant, il est temps d’agir. Bonne chance, mon colonel.
[[ Début de la mission ]] Salutations, colonelle.
Dans ce second épisode d'Une Mission Dont Vous Etes Le Héros, vous contrôlerez un régiment combattants de dernière génération chargés de mener une mission vitale pour stabiliser le Nokanda.
Vous devrez prendre des décisions opérationnelles et savoir trouver le bon équilibre sur les plans stratégiques, technologiques, géopolitiques.
Même si vous êtes très sûr de vous et confiants en vos hommes et ressources, n’oubliez pas le support mais aussi les vulnérabilités que peut vous donner la technologie.
Pesez vos décisions avant de les prendre. Le monde regarde attentivement ce conflit et certaines actions peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la scène internationale.
Votre carrière brillante vous a ouvert l'accès à un poste de choix comme conseiller spécial du Chef d'Etat-major des Armées françaises, qui tend une oreille attentive à vos recommandations. En début d'épisode, vous pourrez ainsi orienter des actions stratégiques globales ou des choix de doctrine. Profitez de cette opportunité, elle orientera vos possibilités une fois sur le terrain.
Après chaque décision, un code vous sera donné en début de paragraphe. Nous vous invitons à le noter soigneusement. A la fin de votre partie, veuillez envoyer votre liste de codes à l'adresse communaute@jeunes-ihedn.org : nous évaluerons vos choix et révèlerons, le dimanche 11 avril 2021, les gagnants du Challenge du Turfu.
Maintenant, il est temps d’agir. Bonne chance, colonelle.
[[ Début de la mission ]]