Etes-vous...
[[ Un homme]]
[[ Une femme]]RÉSUMÉ DES ÉPISODES PRÉCÉDENTS
Pour consolider ses liens stratégiques avec le Nokanda, pays africain prospère et prometteur, la France a réalisé un investissement massif dans S.M.O, entreprise reine des réseaux télécoms et médias numériques nokandais.
La population nokandaise s'est enflammée à la faveur des réseaux sociaux, jugeant que la France cachait une manoeuvre de prise de contrôle de l'information du Nokanda. Le trouble public a conduit à la naissance de l'ANTIVIRUS, collectif de hackers et de combattants voué à débarrasser le Nokanda de l'ingérence française. La France a été dépéchée pour affronter l'ANTIVIRUS via une opération de contre-terrorisme, MAMBA, dont vous êtes le commandant.
En les pourchassant dans leur région la plus fortifiée, la province du Mboasu au nord du pays, vous avez fait une découverte fracassante : le sol du Mboasu abrite un gisement exceptionnel de tritium, précieuse source d'énergie nucléaire. La montée de l'ANTIVIRUS cachait donc la manoeuvre d'une puissance souhaitant investir seule l'exploitation du tritium et écarter tout concurrent.
Pour rompre l'enlisement du conflit, vous avez fait débarquer au Nokanda un bataillon de soldats de dernière génération pour prendre le chef-lieu du Mboasu et destabiliser l'ANTIVIRUS. Vous avez remporté l'assaut au prix d'un combat âpre contre des ennemis inattendus : des escouades de soldats transhumains et un essaim de drones autonomes de pointe. Vous teniez là les preuves de l'identité de l'ingérent mystérieux : le Misaya, puissance dominante de l'Asie développant le programme énergétique le plus ambitieux du monde.
Avec un tel acteur soutenant l'ANTIVIRUS, vous craignez que ce coup décisif ne puisse être le dernier. L'opération MAMBA tiendra-t-elle suffisamment longtemps pour ramener la paix au Nokanda ?
[[ Rappels sur le Nokanda ]]
[[Reprise des opérations]]Plusieurs semaines se sont écoulées depuis votre reprise audacieuse de Mboasana, portant un coup fatal à l'ANTIVIRUS dans la région. Leur plus important bastion neutralisé, leurs forces ont été rapidement chassées du Mboasu.
A la faveur du retour de la paix dans la province, l'Oligopole a très rapidement entrepris de démarrer un programme d'exploitation du gisement de tritium. La course est ouverte pour les partenaires étrangers, avec en tête de file la France et le Misaya.
Votre pays dispose d'une longueur d'avance appréciable face à son concurrent asiatique. La contribution de l'opération MAMBA pour sécuriser le gisement y a grandement joué, mais aussi les images du siège de Mboasana que vous avez délibérément fait fuiter sur les réseaux sociaux montrant des drones et des combattants augmentés très probablement affiliés au Misaya. Les autorités misayennes ont catégoriquement nié vos preuves, les qualifiant de deepfakes de forces mercenaires sans aucun lien avec eux, mais leur réputation en a tout de même souffert.
Vous n'êtes toutefois pas au bout de vos peines. Plusieurs hackers de l'ANTIVIRUS ont réussi à fuir dans des pays voisins d'où ils lancent de nouvelles cyberattaques, et de nombreux troupiers à drones infiltrent encore les autres provinces du Nokanda. Malgré l'effort des forces françaises et nokandaises, ils continuent à sévir avec violence.
Et alors que vous travailliez à une stratégie terminale pour venir à bout de la menace, l'Etat major vous informe d'une décision de bien mauvais augure pour la suite de l'opération MAMBA.
[[ Suivant]]Comme vous le redoutiez, la coupe budgétaire vous a forcé à revoir vos ambitions pour une stratégie finale. Vos troupes s'inquiètent des missions de plus en plus rares aux objectifs de plus en plus démesurés.
Les semaines passent, et les opérations contre l'ANTIVIRUS continuent. Un démantèlement de cellule a fait subir à vos soldats une attaque bactériologique improvisée dont ils sont sortis indemnes. Une prise d'otage en mer vous a forcé à une gestion très délicate des civils pour la désamorcer. Vous louez la fulgurance et la subtilité de vos hommes face à ces situations critiques.
Mais le jour que vous redoutiez finit par arriver.
Un double signalement d'activité ANTIVIRUS de priorité maximale vous a été remonté : une prise d'otages aux abords de Matane, et un passage forcé d'un convois vers le Kidu. Vous n'avez assez de ressources que pour conduire une seule opération.
La prise d'otages à Matane est une opération spectaculaire, dans une antenne de la banque Crédit Agraire, où des expatriés français et de nombreux citoyens nokandais accusés de collaboration avec la France sont menacés d'exécution si une rançon exorbitante en bitcoin n'est pas livrée. Un otage nokandais a déjà été exécuté. Les forces d'intervention de la police sont en cours, mais elles n'ont pas les armes requises pour lutter contre un groupe paramilitaire de l'envergure de l'ANTIVIRUS.
Vous savez qu'il ne s'agit que d'une diversion. La vraie opération stratégique de l'ANTIVIRUS se déroule près de la frontière du Kidu. Là, un convoi tente d'extrader plusieurs troupiers, des hackers et une grande quantité de matériel de guerre électronique. Loin de la juridiction de MAMBA, ils pourront constituer une cellule au Kidu d'où coordonner des frappes au Nokanda. Le Kidu est au courant mais n'est pas en mesure de déployer des forces dans la zone. Il exige que MAMBA empêche la cellule de traverser la frontière, où il menace de résilier des approvisionnements dont notre base en manque de moyens dépend cruellement.
[[ Ces otages sont déjà morts. Je dois empêcher l'ANTIVIRUS d'aller infecter le Kidu. ]]
[[ Que le Kidu aille au diable ! On a des citoyens français et nokandais à sauver de la mort tout de suite.]]
Le Nokanda est un nouvel État africain né de multipes flux migratoires et gouverné par un système unique au monde : l'Oligopole, un consortium d’entreprises transnationales.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410080217765479.png>
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Historiquement, le Nokanda était une terre propice à l'implantation et au développement d'entreprises, du fait de ses avantages fiscaux et sa localisation stratégique. Territoire avec un long littoral bénéfique pour le commerce, il est aussi situé sur l’équateur, idéal pour les lancements spatiaux.
Devenues prospères, les entreprises privées du pays se sont rapidement consolidées en formant l'Oligopole. Face à leurs performances indéniables, et à la faillite des gouvernements étatiques traditionnels dans toute la région, les habitants de Nokanda ont perdu confiance en ces derniers et ont communément exprimé leur volonté d'être dirigés par l'Oligopole.
Le nouveau gouvernement est horizontal, chaque entreprise administrant le pan de l'activité du pays correspondant à son expertise propre. Son efficacité en fait un motif de grande fierté pour les habitants du Nokanda.
Les populations autochtones (un tiers du pays) et les différentes communautés issues des flux migratoires cohabitent en paix et sont chacune représentées par un Délégué.
Les PDG de l'Oligopole et les Délégués des populations forment ainsi l'organe exécutif suprême du pays, le Conseil du Nokanda.
De nombreuses puissances mondiales rivalisent d'efforts et de dépenses pour investir dans l'Oligopole et consolider leurs liens avec ce pays prometteur. La France a rejoint tardivement la partie. Elle doit à la fois conduire des manoeuvres audacieuses, et tempérer l'hostilité des populations autochtones qui entretiennent un mauvais souvenir des ingérences françaises en Afrique et s'opposent fermement à son retour.
La France a particulièrement investit dans S.M.O., membre fondateur de l’Oligopole gérant les médias numériques (comme sa plateforme de microblogage Pima) et réseaux télécoms du pays.
Toute l'information du Nokanda dépend de S.M.O.
A la faveur du conflit contre l'ANTIVIRUS, un gisement massif de tritium a été découvert par la France dans le sol du Mboasu, province nord du Nokanda.
[[Reprise des opérations]]Salutations, mon colonel.
Dans ce troisième et dernier épisode d'Une Mission Dont Vous Etes Le Héros, l'opération MAMBA touche à sa fin. Réussirez-vous à l'amener à son terme malgré la fonte cruelle de vos moyens ?
Vous devrez prendre des décisions opérationnelles et savoir trouver le bon équilibre sur les plans stratégiques, technologiques, géopolitiques.
Même si vous êtes très sûr de vous et confiants en vos hommes et ressources, n’oubliez pas le support mais aussi les vulnérabilités que peut vous donner la technologie.
Pesez vos décisions avant de les prendre. Le monde regarde attentivement ce conflit et certaines actions peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la scène internationale.
Votre carrière brillante vous a ouvert l'accès à un poste de choix comme conseiller spécial du Chef d'Etat-major des Armées françaises, qui tend une oreille attentive à vos recommandations. En début d'épisode, vous pourrez ainsi orienter des actions stratégiques globales ou des choix de doctrine. Profitez de cette opportunité, elle orientera vos possibilités une fois sur le terrain.
Après chaque décision, un code vous sera donné en début de paragraphe. Nous vous invitons à le noter soigneusement. A la fin de votre partie, veuillez envoyer votre liste de codes à l'adresse communaute@jeunes-ihedn.org : nous évaluerons vos choix et révèlerons, le dimanche 11 avril 2021, les gagnants du Challenge du Turfu.
Maintenant, il est temps d’agir. Bonne chance, mon colonel.
[[Début de la mission]]
Salutations, colonelle.
Dans ce troisième et dernier épisode d'Une Mission Dont Vous Etes Le Héros, l'opération MAMBA touche à sa fin. Réussirez-vous à l'amener à son terme malgré la fonte cruelle de vos moyens ?
Vous devrez prendre des décisions opérationnelles et savoir trouver le bon équilibre sur les plans stratégiques, technologiques, géopolitiques.
Même si vous êtes très sûr de vous et confiants en vos hommes et ressources, n’oubliez pas le support mais aussi les vulnérabilités que peut vous donner la technologie.
Pesez vos décisions avant de les prendre. Le monde regarde attentivement ce conflit et certaines actions peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la scène internationale.
Votre carrière brillante vous a ouvert l'accès à un poste de choix comme conseiller spécial du Chef d'Etat-major des Armées françaises, qui tend une oreille attentive à vos recommandations. En début d'épisode, vous pourrez ainsi orienter des actions stratégiques globales ou des choix de doctrine. Profitez de cette opportunité, elle orientera vos possibilités une fois sur le terrain.
Après chaque décision, un code vous sera donné en début de paragraphe. Nous vous invitons à le noter soigneusement. A la fin de votre partie, veuillez envoyer votre liste de codes à l'adresse communaute@jeunes-ihedn.org : nous évaluerons vos choix et révèlerons, le dimanche 11 avril 2021, les gagnants du Challenge du Turfu.
Maintenant, il est temps d’agir. Bonne chance, colonelle.
[[Début de la mission]] La crise de l'ANTIVIRUS ayant été désamorcée dans la capitale Oligopolis et dans la province du Mboasu, la Présidente de la République juge que l'opération MAMBA ne justifie plus les frais importants de son maintien.
Vous connaissez bien la raison derrière cette coupure anticipée : la Présidente s'est engagée à construire un ascenseur spatial à Kourou. Premier du genre dans l'histoire, il propulsera la France au rang de leader de la course à la domination économique de l'espace. Les coûts pharaoniques de ce projet d'Etat imposent des rognages budgétaires dans toutes les administrations, et la Défense n'y coupe pas.
Vous avez eu beau argumenter de la capacité de l'ANTIVIRUS à se relever très vite et à redevenir un danger majeur pour la région, la Présidente et le ministre des Armées ont estimé que les opérations extérieures faisant rage en Antarctique contre le Kislev et dans les DOM-TOM océaniens étaient plus critiques que l'opération MAMBA, qui doit s'engager à des réduction budgétaires drastiques.
Pour parvenir aux réductions requises tout en minimisant vos pertes de capacités, trois programmes budgétaires s'offrent à vous :
PROGRAMME ASCETE
Vous pouvez réduire votre dépense énergétique et optimiser l'opération pour une consommation minimale, amputant vos capacités de déploiement.
PROGRAMME FRONDE
Vous pouvez sacrifier la modernisation du matériel des troupes régulières et cyber, exposant fortement vos soldats en cas de menaces extrêmes.
PROGRAMME COURAGE
Vous pouvez enfin imposer des heures supplémentaires à vos troupes pour maximiser leur action, au risque de les épuiser.
[[Programme ASCETE]]
[[Programme FRONDE]]
[[Programme COURAGE]][CODE : LEANMEAT]
Vous préférez sacrifier votre capacité à déployer un soldat où et quand vous le désirez, pour vous assurer que le soldat soit en forme et bien équipé au moment où il doit entrer en action. Vous adoptez un programme de consommation énergétique réduite des opérations tactiques.
La nouvelle est mal accueillie par vos soldats. Le commandement est empêtré dans un sac de noeud épouvantable pour replanifier les opérations avec les nouvelles contraintes, et elles s'alourdissent d'objectifs stratégiques supplémentaires pour maximiser leur efficacité.
[[Suite]] [CODE : FRENCHSYSTEMD]
La capacité à déployer au bon moment un soldat en forme est prioritaire, et l'armée française sait depuis toujours s'en sortir avec du chewing-gum et du fil de pêche. Vous annulez la commande des nouveaux équipements de combat et informatiques promis à vos troupes.
La nouvelle est mal accueillie par vos soldats : l'intensité de MAMBA use de plus en plus leur matériel, et ils comptaient beaucoup sur ce nouvel équipement pour booster leurs performances et conclure au plus vite l'opération.
[[ Suite ]][CODE : SQUEEZYLEMON]
Les soldats français sont durs au mal : mieux vaut qu'ils soient fatigués que mal protégés et expédiés au mauvais endroit au mauvais moment. Vous étudiez comment maximiser le nombre d'intervention de vos hommes.
La nouvelle est mal accueillie par vos soldats : l'intensité de MAMBA use de plus en plus leur énergie. Tirer sur la corde risque d'être dangereux pour leur vie comme pour leur efficacité.
[[ Suite]][Code : DEATHNOTE]
Vous envoyez en urgence un VTOL pour intercepter le convoi ANTIVIRUS. Malgré une résistance farouche, ce dernier est neutralisé. Le Kidu vous remerciera chaleureusement pour cette aide urgente et s'assurera que vous parviennent quelques suppléments alimentaires en base pour regonfler le moral des troupes.
Vous avez pu mettre la main sur un dispositif étrange : un laser de puissance de qualité militaire, sans marque. Vous soupçonnez que le Misaya a de nouveau quelque chose à voir avec ce dispositif, mais son usage vous intrigue. Il est quelque peu surdimensionné pour servir à brûler des drones.
Mais la situation à Crédit Agraire a fortement dégénéré. Sans le soutien d'une unité militaire, les forces d'intervention d'élite de la police nokandaise sont entrés en échanges de feu nourris avec l'ANTIVIRUS. De nombreux otages ont été tués, certains à dessein. La population nokandaise accuse l'opération MAMBA d'avoir abandonné des civils en danger qu'elle devait protéger. Une vague d'hostilité à votre égard se lève dans le pays.
Vous vous étonnez de la froideur macabre avec laquelle vous avez condamné les otages au profit du Kidu. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[ Peu importe. J'ai évité l'apparition d'un nouveau foyer de crise.]][Code : QUIXOTIC]
Avec le concours des forces d'intervention d'élite de la police nokandaises, vous montez un assaut éclair physique-cyber pour neutraliser les ANTIVIRUS avant qu'un autre otage ne soit blessé.
La mission est un succès retentissant, retransmis sur tous les médias nokandais et qui vous vaut un gain de popularité auprès de la population. Toutefois, le Kidu est outré d'avoir été ignoré à un moment critique qui pourrait engendrer de longues années de crises pour sa population. Les vivres qu'elles vous vendaient vous sont coupées. La nourriture et les médicaments doivent suivre des cycles d'approvisionnement plus longs et plus chers en France. De nombreux soldats en souffrent, précipitant leur épuisement.
Vous vous étonnez de l'agressivité chevaleresque avec laquelle vous avez abandonné Kidu pour voler au secours des otages. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[Peu importe. J'ai fait mon devoir d'être humain.]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget.]]
[[L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère.]]
[[Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs.]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[ L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget.]]
[[ L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère.]]
[[ Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs.]]Comme vous le redoutiez, la coupe budgétaire vous a forcé à revoir vos ambitions pour une stratégie finale. Vos troupes s'inquiètent de l'usure croissante de leur matériel et craignent qu'il leur fasse défaut au moment critique.
Les semaines passent, et les opérations contre l'ANTIVIRUS continuent. Une diversion sophistiquée vous a forcé à projeter très rapidement des escouades dans plusieurs régions pour empêcher des troupes de l'ANTIVIRUS de fuir au Kidu. Une prise d'otage en mer vous a forcé à une gestion très délicate des civils pour la désamorcer. Vous louez la fulgurance et la subtilité de vos hommes face à ces situations critiques.
Mais le jour que vous redoutiez finit par arriver.
A la suite d'un tuyau sur la mise en place d'une cellule de l'ANTIVIRUS près de la frontière du Kidu, vous dépéchez une escouade pour conduire un raid et couper l'antenne avant qu'elle ne se développe.
Vos soldats manifestent progressivement des signes de faiblesse alors qu'ils progressaient le long de rues curieusement désertes. Une sudation excessive qu'ils n'attribuent ni à la tension ni à la chaleur. Une voix éraillée, alors que la ville n'est pas chargée de poussière. Ce n'est que lorqu'un caporal vomit dans son casque AR que les biosenseurs de leurs uniformes s'affolent.
Un pathogène artificiel flotte dans l'air de la ville, et a infecté vos soldats en pénétrant par leur peau. Les capteurs montrent une bactérie grossièrement éditée, travail de biohackers improvisé en garage, mais les textiles décontaminants des uniformes de vos troupes sont trop vieux et fatigués pour les en prémunir.
Si l'ANTIVIRUS utilise une telle tactique, c'est que la ville comporte encore peu de troupiers à drones : la cellule doit être formée d'activistes cyber désespérés ayant acheté un génôme et quelques fioles en ligne. Le vent n'est pas fort : ils n'ont pas pu lâcher ce microbe aérosol de très loin.
[[ Pas de quartier ! La cellule doit être rasée : serrez les dents et forcez chaque porte de cette ville !]]
[[ Ils sont en danger ! Qu'ils quittent immédiatement ces rues pestilentielles ou ils mourront !]][Code : KOFKOF]
Vos intuitions se sont avérées justes : les planques de l'ANTIVIRUS sont rapidement triangulées par un gradient de contamination, et n'étaient peuplées que de techniciens peu aptes au combat.
Vous avez pu mettre la main sur un dispositif étrange : un laser de puissance de qualité militaire, sans marque. Vous soupçonnez que le Misaya a de nouveau quelque chose à voir avec ce dispositif, mais son usage vous intrigue. Il est quelque peu surdimensionné pour servir à brûler des drones.
Ce surcroît d'exposition a coûté cher à vos hommes. Rapatriés en urgence par VTOL vers votre base, ils sont rapidement pris en charge par le groupement hospitalier, qui parvient à leur sauver la vie. Toutefois, leur organisme a subi un choc épouvantable : ils devront rester allités longtemps avant de reprendre les opérations. Vos forces vives ont pris du plomb dans l'aile, et c'est parti pour durer.
Vous vous étonnez de l'agressivité avec laquelle vous avez ordonné à vos soldats de débusquer les activites au détriment de leur santé. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[ La ville est sécurisée. C'est tout ce qui compte.]][Code : HAZARDZONE]
Vous envoyez en urgence un VTOL rapatrier vos hommes. Le groupement hospitalier de la base les soigne rapidement : le pathogène était agressif mais rudimentaire, et ils ont pu le défaire avant qu'il ne cause de dégât important à l'organisme de vos hommes.
Toutefois, la cellule de l'ANTIVIRUS profitera certainement de ce répit pour se consolider et amasser des forces. Leur présence dans la région risque de s'intensifier dangereusement.
Vous vous étonnez de la panique vive avec laquelle vous avez ordonné à vos soldats de battre en retraite. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[Vos soldats sont indemnes. C'est tout ce qui compte.]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[ L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget.]]
[[ L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère.]]
[[ Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs.]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget. ]]
[[L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère. ]]
[[Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs. ]]Comme vous le redoutiez, la coupe budgétaire vous a forcé à revoir vos ambitions pour une stratégie finale. Vos troupes s'inquiètent des efforts exténuants qu'on leur demande constammer d'accroître, et doutent de leur capacité à tenir longtemps ce rythme.
Les semaines passent, et les opérations contre l'ANTIVIRUS continuent. Une diversion sophistiquée vous a forcé à projeter très rapidement des escouades dans plusieurs régions pour empêcher des troupes de l'ANTIVIRUS de fuir au Kidu. Un démantèlement de cellule a fait subir à vos soldats une attaque bactériologique improvisée dont ils sont sortis indemnes.
Mais le jour que vous redoutiez finit par arriver.
Un appel de détresse vous pointe une situation urgente en pleine mer, au sud d'Oligopolis. Un important cargo de frêt a été détourné par l'ANTIVIRUS. Une escouade infiltrée a permis à leurs hackers de prendre le contrôle de l'appareil et de le faire mouiller non loin d'une de leurs zones de contrôle où des robots pourront récupérer les caisses de matériel électronique qui s'y trouvent.
Vous faites parachuter par VTOL une escouade furtive sur le cargo. Si elle y trouve bien les otages...elle constate que l'ANTIVIRUS n'y est pas !
Une série de vrombrissement se fait entendre alors que vos commandos sortent sur le pont examiner la situation autour du bateau.
L'ANTIVIRUS a choisi d'appliquer la technique de la ''nuée"des pirates méditerranéens d'Alia N'saadi. Une centaine de pêcheurs côtiers ont été payés pour s'approcher du cargo dans de petits canots, filmant la situation par leur téléphone. Chaque pêcheur dispose dans son canot d'un bidon vide. Mais quelques uns de ces pêcheurs sont des ANTIVIRUS, dont le bidon est rempli d'un acide collant capable de trouer la coque du bateau et de le couler.
La situation est particulièrement délicate à désamorcer. Le moindre innocent blessé sera filmé en direct.
Vous ne pouvez pas laisser l'ANTIVIRUS repartir avec ce matériel, qui restaurerait une bonne partie de ses capacités perdues. Mais vous doutez que vos soldats, épuisés, aient la lucidité nécessaire pour gérer cette situation complexe avec doigté.
[[On ne va pas laisser ces crevures de l'ANTIVIRUS nous chasser ?! Résolvez la crise, coûte que coûte.]]
[[Il y a des vies humaines en danger, barrez-vous immédiatement de ce navire !]][Code : CROWNJEWEL]
Surmené, énervé, le capitaine n'a pas été en mesure de conduire des négociations efficaces. Lorsqu'un civil (ou un ANTIVIRUS ?) s'est dangereusement approché du navire en brandissant son bidon, il n'a pas hésité. Après deux avertissements, le coup est parti et a tué l'homme sur le coup.
Six autres ont dû être abattus avant que les pêcheurs prennent peur et ne fuient, les ANTIVIRUS se mêlant à eux pour ne pas être tués.
Le convoi est intact. L'ANTIVIRUS a pu se saisir d'une partie du matériel, mais il ne servira qu'à prolonger son existence d'une semaine ou deux. Sans des moyens à la hauteur des saisies de Mboasana, ils sont condamnés.
Mais les vidéos de l'incident ont tourné sur les réseaux sociaux. Les nokandais en sont profondément révulsés. Nombreux sont ceux pointant combien la vie d'un nokandais n'a aucune valeur face à une caisse de circuits, aux yeux d'un envahisseur français. Une vague d'hostilité envers MAMBA se lève dans le pays.
Dans un conteneur, vous avez pu mettre la main sur un dispositif étrange : un laser de puissance de qualité militaire, sans marque. Vous soupçonnez que le Misaya a de nouveau quelque chose à voir avec ce dispositif, mais son usage vous intrigue. Il est quelque peu surdimensionné pour servir à brûler des drones.
Vous vous étonnez de l'agressivité avec laquelle vous avez ordonné à vos soldats de recourir à tous les moyens qu'il jugeait nécessaire. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[L'ANTIVIRUS est asphyxié. C'est tout ce qui compte.]][Code : MOTHERLOAD]
La situation est explosive. Vous ne pouvez prendre le risque de tuer des innocents en public et, votre capitaine étant trop exténué pour mener à bien une négociation, vous l'avez ramené à la base.
L'ANTIVIRUS va beaucoup bénéficier de ce cargo. Leur présence dans la région risque de s'intensifier dangereusement.
Vous vous étonnez de la panique vive avec laquelle vous avez ordonné à vos soldats de battre en retraite. De tels mots ne ressemblement pas à ce qui sort usuellement de votre bouche...
[[ Les innocents sont sains et saufs. C'est tout ce qui compte.]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget. ]]
[[L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère. ]]
[[Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs. ]]Les jours qui suivent ne portent pas davantage de chance à MAMBA. Vos interventions perdent en efficacité. Vous vous faites plus souvent surprendre par l'ennemi, et vos hommes multiplient les erreurs tactiques, à l'engagement comme au contact des civils.
[[ L'équipement défaillant de vos hommes crée bien trop de problèmes. Il faut gifler le ministre jusqu'à ce qu'il concède d'augmenter le budget. ]]
[[ L'opération MAMBA inflige un stress impossible à toutes les troupes. Il faut prévoir une grande fête avec les civils pour détendre l'atmosphère. ]]
[[ Les hackers de l'ANTIVIRUS doivent contrôler nos canaux de communication. Il faut au plus vite procéder à une purge cyber et formater tous les ordinateurs. ]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030386673.png>
</div>
[[ Pourquoi pas ?]][Code : PINKIEPIE]
Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030513199.png>
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[[ Pourquoi pas ?]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121032414726.png>
</div>
[[ Pourquoi pas ?]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[Vous arrêtez entièrement le SGC.]]
[[Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC.]]
[[Vous laissez le SGC actif.]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030386673.png>
</div>
[[Pourquoi pas ?]][Code : PINKIEPIE]
Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030513199.png>
</div>
[[Pourquoi pas ?]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121032414726.png>
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[[Pourquoi pas ?]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030386673.png>
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : PINKIEPIE]
Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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[[ Pourquoi pas ?]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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[[ Pourquoi pas ?]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : PINKIEPIE]
Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : SLAPKISS]
Gifler le ministre ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et l'équipement usé n'explique pas les erreurs de jugement humain...
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : PINKIEPIE]
Une grande fête ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Vous manquez déjà de budget pour avoir des uniformes fonctionnels.
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[[ Pourquoi pas ? ]][Code : KILLITWITHFIRE]
Tout formater ? Qu'est-ce qui vous prend d'avoir une idée pareille ? Et une écoute omnisciente de l'ennemi n'expliquerait pas vos propres erreurs de jugement sur le terrain.
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[[ Pourquoi pas ? ]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[ Vous arrêtez entièrement le SGC.]]
[[ Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC.]]
[[ Vous laissez le SGC actif.]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[Vous arrêtez entièrement le SGC. ]]
[[Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC. ]]
[[Vous laissez le SGC actif. ]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[ Vous arrêtez entièrement le SGC.]]
[[ Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC.]]
[[ Vous laissez le SGC actif.]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[Vous arrêtez entièrement le SGC. ]]
[[Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC. ]]
[[Vous laissez le SGC actif. ]]Vous recevez un appel de votre capitaine des transmissions qui vous relaie une nouvelle alarmante.
Vos divisions cyber ont identifié une faille dans les systèmes de la base. La réduction budgétaire a contraint de maintenir l'utilisation d'ordinateurs remontant pour certains à l'opération BARKHANE. Une mise à jour essentielle du système de gestion de combat (SGC) a laissé sur ces vieilles machines une vulnérabilité très discrète, que des hackers de l'ANTIVIRUS ont exploité avec subtilité.
Tous les militaires de l'opération MAMBA disposent d'intelligences artificielles d'aide à la décision. Ces IA sont d'une aide cruciale en opération, et agissent aussi bien par des recommandations directes que par du nudging subtile des interfaces du soldat. Toutes ces IA sont connectées au SGC pour échanger des informations tactiques et faire évoluer leurs paramètres.
Depuis plusieurs semaines, les hackers ont exploité une faille du SGC pour modifier légèrement les hyperparamètres des IA. En introduisant des biais judicieusement choisis, les hackers orientaient l'apprentissage dynamique des IA pour qu'elles poussent les soldats français à prendre des décisions erratiques.
Voilà qui explique vos idées saugrenues et vos curieuses réactions lors de la dangereuse opération de la semaine dernière. Vous êtes aussi furieux qu'impressionné par ce sabotage de haut vol. Sans l'intelligence de vos escouades cyber, vous seriez encore à la merci de ce désavantage indétectable jouant avec votre esprit.
Il vous faut prendre d'urgence une décision pour combler la brèche, dont vous ignorez encore s'il s'agit là de toute l'ampleur ou si la cyberattaque est amenée à se propager.
La solution la plus rapide et sure serait de réinstaller entièrement le SGC, mais vous vous priveriez de votre principal outil de coordination stratégique pendant quelques jours.
Vous pouvez également isoler la partition du SGC dédiée aux IA pour continuer à utiliser vos systèmes de communication, mais la réparation de la faille prendra deux semaines durant lesquelles vos soldats se sentiront désarmés.
Enfin, vous pouvez demander à vos équipes cyber de tenter de réparer le système sans l'éteindre. Si vos soldats peuvent faire un surcroit d'effort pour trier leurs informations, ils préfèreront cela de se retrouver sans leurs IA. Mais vous ignorez dans combien de temps le système sera sûr à nouveau.
Vous réfléchissez soigneusement aux handicaps déjà subis par vos forces avant de prendre votre décision.
[[ Vous arrêtez entièrement le SGC. ]]
[[ Vous arrêtez la gestion des IA par le SGC. ]]
[[ Vous laissez le SGC actif. ]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
C'est un coup de grâce pour la conduite de vos opérations. Il vous est impossible d'envoyer des soldats sous-accompagnés sur un théâtre distant sans aucune souplesse sur la projection et l'extraction. Vous êtes contraints de mettre un terme aux opérations durant quelques jours. Les soldats vous sont grés de ce repos bienvenu... et l'ANTIVIRUS également !
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/21041012103148872.png>
</div>
[[//Redémarrage système//]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière pousse un immense soupir de soulagement. Vos soldats ont hâte de récupérer un peu d'efficacité après tant de missions livrés à eux-mêmes.
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030781398.png>
</div>
[[//Redémarrage système//]] [Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
Le plantage est vite réparé, mais ajoute à l'agacement prononcé de vos troupes, qui grincent des dents face aux décisions erronées régulièrement proposées par leurs IA. Bien qu'ils parviennent à faire la différence la plupart du temps, ils sont encore amenés à produire des erreurs mineures mais se cumulant en handicaps non-négligeables.
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121032139543.png>
</div>
[[//Redémarrage système//]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
C'est un coup de grâce pour la conduite de vos opérations. Il vous est impossible d'envoyer des soldats sous-accompagnés sur un théâtre distant sans aucune souplesse sur la projection et l'extraction. Vous êtes contraints de mettre un terme aux opérations durant quelques jours. Les soldats vous sont grés de ce repos bienvenu... et l'ANTIVIRUS également !
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</div>
[[//REDEMARRAGE SYSTEME//]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière pousse un immense soupir de soulagement. Vos soldats ont hâte de récupérer un peu d'efficacité après tant de missions livrés à eux-mêmes.
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[[//REDEMARRAGE SYSTEME//]][Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
Le plantage est vite réparé, mais ajoute à l'agacement prononcé de vos troupes, qui grincent des dents face aux décisions erronées régulièrement proposées par leurs IA. Bien qu'ils parviennent à faire la différence la plupart du temps, ils sont encore amenés à produire des erreurs mineures mais se cumulant en handicaps non-négligeables.
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[[//REDEMARRAGE SYSTEME//]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
Vos équipes redoublent d'ingéniosité pour communiquer efficacement sur le terrain. Une de vos escouades improvise même un système de cerf-volants pour coordonner un déplacement. Vous êtes admiratif de leur résilience. Mais leurs performances demeurent cruellement amoindries sur les opérations concernées.
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/21041012103148872.png>
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[[ //Redémarrage Système// ]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière est trop épuisée pour éructer de joie. Sans matériel au niveau ni assistant cognitif, vos troupiers se sont retrouvés particulièrement nus sur les théâtres d'opérations. De nombreuses missions se sont soldées sur un échec parce qu'il était littéralement impossible de surmonter les obstacles qu'elles alignaient.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030781398.png>
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[[ //Redémarrage Système// ]][Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
Le plantage est vite réparé, mais ajoute à l'agacement prononcé de vos troupes, qui grincent des dents face aux décisions erronées régulièrement proposées par leurs IA. Bien qu'ils parviennent à faire la différence la plupart du temps, ils sont encore amenés à produire des erreurs mineures mais se cumulant en handicaps non-négligeables.
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[[ //Redémarrage Système// ]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
Vos équipes redoublent d'ingéniosité pour communiquer efficacement sur le terrain. Une de vos escouades improvise même un système de cerf-volants pour coordonner un déplacement. Vous êtes admiratif de leur résilience. Mais leurs performances demeurent cruellement amoindries sur les opérations concernées.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/21041012103148872.png>
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[[ //Redémarrage système// ]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière est trop épuisée pour éructer de joie. Sans matériel au niveau ni assistant cognitif, vos troupiers se sont retrouvés particulièrement nus sur les théâtres d'opérations. De nombreuses missions se sont soldées sur un échec parce qu'il était littéralement impossible de surmonter les obstacles qu'elles alignaient.
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121030781398.png>
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[[ //Redémarrage système// ]][Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
Le plantage est vite réparé, mais ajoute à l'agacement prononcé de vos troupes, qui grincent des dents face aux décisions erronées régulièrement proposées par leurs IA. Bien qu'ils parviennent à faire la différence la plupart du temps, ils sont encore amenés à produire des erreurs mineures mais se cumulant en handicaps non-négligeables.
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[[ //Redémarrage système// ]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
Vos équipes redoublent d'ingéniosité pour communiquer efficacement sur le terrain. Une de vos escouades improvise même un système de cerf-volants pour coordonner un déplacement. Vous êtes admiratif de leur résilience. Mais leurs performances demeurent cruellement amoindries sur les opérations concernées.
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME ///////// ]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière pousse un immense soupir de soulagement. Vos soldats ont hâte de récupérer un peu d'efficacité après tant de missions livrés à eux-mêmes.
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME ///////// ]][Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
C'en est trop pour beaucoup de vos soldats. Epuisés par les déploiements trop fréquents, malmenés par des indications falacieuses de leurs IA qu'ils n'ont pas la force mentale d'analyser, et maintenant trollés par les défaillants de leurs compagnons robotiques, ils font la queue devant la cellule psychologique du groupement hospitalier. Vos hommes sont à bout. Mais s'ils pouvaient tenir encore un tout petit peu...
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME ///////// ]][Code : NIGHTMAREMODE]
Le bref arrêt du SGC signe un enfer tactique de plusieurs jours.
Vos soldats se retrouvent face à un ennemi électronique aguerri sans la supervision hyperréactivité de leur commandement, ni leurs réticules augmentés à positionnement allié/ennemi dynamique, ni le coup de pouce de leurs assistants décisionnels.
Vos équipes redoublent d'ingéniosité pour communiquer efficacement sur le terrain. Une de vos escouades improvise même un système de cerf-volants pour coordonner un déplacement. Vous êtes admiratif de leur résilience. Mais leurs performances demeurent cruellement amoindries sur les opérations concernées.
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME /////////]][Code : NOLITTLEWHEELS]
La période de suspension des IA est un long et pénible moment pour vos troupes. Vos soldats ne sont plus habitués à prendre des décisions seuls, sans confirmation d'un système auxiliaire, face à un ennemi disposant d'un soutien cognitif comparable. Les opérations sont engluées par un excès de prudence, et les résultats s'en ressentent.
Lorsque les IA reviennent en ligne, la base toute entière pousse un immense soupir de soulagement. Vos soldats ont hâte de récupérer un peu d'efficacité après tant de missions livrés à eux-mêmes.
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME /////////]][Code : AGENTSMITH]
Comme vous le craigniez, le virus s'est propagé dans certains robots de combat. Vous observez les sherpas cabrioler de façon grotesque, les sondes produire des analyses faussées et les drones se projeter avec violence contre les murs.
C'en est trop pour beaucoup de vos soldats. Epuisés par les déploiements trop fréquents, malmenés par des indications falacieuses de leurs IA qu'ils n'ont pas la force mentale d'analyser, et maintenant trollés par les défaillants de leurs compagnons robotiques, ils font la queue devant la cellule psychologique du groupement hospitalier. Vos hommes sont à bout. Mais s'ils pouvaient tenir encore un tout petit peu...
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[[///////// REDEMARRAGE SYSTEME /////////]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[Suivant ]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[Suivant ]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[Vous ne pouvez rien faire. ]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[Vous ne pouvez rien faire.]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[ Suivant ]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[ Vous ne pouvez rien faire.]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[ Suivant]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[ Vous ne pouvez rien faire. ]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[Suivant ]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[ Vous ne pouvez rien faire.]]Nuageux depuis plusieurs semaines, le temps s'alourdit brusquement en l'espace de quelques jours. Un ciel d'orage ne présageant rien qui vaille pèse sur tous le Nokanda.
L'Oligopole vous remonte des données suspectes de leur réseau électrique : des pics de consommation suspects sont régulièrement enregistrés au nord de Matane, chef-lieu du sud du Nokanda.
Vos drones éclaireurs et images satellites dépêchés sur place vous font remonter une information inquiétante. Dans une base lourdement armée, l'ANTIVIRUS accumule de grosses quantités de lasers militaires d'origine étrangère - et probablement misayenne. Vous ignorez ce qu'ils comptent en faire, mais cela n'implique rien de bon pour personne.
Vous êtes déterminé à conduire aussi vite que possible une attaque décisive sur cette base, et vous ne souhaitez pas y aller de main morte. Vous décidez de faire appel à un régiment entier, votre meilleur. Celui des soldats de dernière génération que vous avez guidés dans la prise de Mboasana.
Vous n'avez pas encore tout à fait confiance dans le SGC restauré pour reposer sur lui dans la gestion de cette crise. Aussi, vous décidez que vous irez cette fois sur le terrain pour superviser l'attaque au plus près de l'action. Et vous êtes confiant que votre présence décuplera le moral de vos troupes, bien entamé par les conditions misérables des dernières semaines.
[[Suivant ]]Des lasers de cette puissance pourraient facilement abattre un aéronef. Une approche terrestre est préférable. Vous embarquez avec vos troupes dans une colonne de VAB méta-camouflage, et vous foncez à toute allure vers Matana pour un trajet d'une demi-journée. Avec toutes les coupes budgétaires imposées, vous n'êtes pas certain d'avoir assez d'essence pour le retour, mais vous pourrez appeler une flottille de VTOL pour vous ramener à la maison.
Vous menez votre long trajet sans retour dans le sud désertique du Nokanda, entouré de vos soldats d'élite, alors que s'accumulent des nuages toujours plus noirs dans le ciel. Vous méditez sur la cocasserie dramatique de votre situation.
La base cible est localisée dans un vallon, entre de hautes collines escarpées. Arrivés à bonne distance de la base, vous enclenchez des manoeuvres de positionnement furtif le temps d'envoyer un essaim de drones espions observer la situation.
Vous observez sur vos écrans la base ennemie bien défendue, et deux éléments sautent à vos yeux. Comme détecté par l'Oligopole, de gros câbles d'alimentation électriques ont été dérivés pour converger vers le centre de la base. Où une impressionnante quantité de lasers, compactés et montés sur des plateformes articulées, se dressent tout vers le ciel.
Vous mettez un long instant avant de comprendre.
Un faisceau laser suffisamment puissant, et entouré d'autres faisceaux préservant sa dissipation d'énergie, pourrait frapper un objet dans l'espace avec assez de puissance pour le brûler et le détruire en fragments. Un objet de la taille d'un satellite militaire, par exemple.
Le bon satellite, choisi au bon endroit et au bon moment, pourrait disrupter les communications de MAMBA et laisser vos soldats dans un état de vulnérabilité critique.
Le mauvais satellite pourrait disperser assez de débris pour détruire par réaction en chaîne de très nombreux voisins et entraîner avec lui un pan de l'internet mondial.
Vous avez à peine le temps de digérer votre conclusion que vous observez une agitation brusque des terroristes, suivi d'un crépitement électrique près des lignes détournées.
[[Vous ne pouvez rien faire. ]]Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[Passer]]
Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[Passer ]]Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[ Passer]]Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[ Passer ]]Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[ Passer ]]Vous ne voyez pas à l'oeil nu le faisceau de lasers s'élever dans le ciel, mais les senseurs thermiques de vos drones perçoivent la trace brûlante qu'il laisse dans l'air.
Les canaux brusquement devenus indisponibles sur vos communicateurs vous font savoir que le laser a touché sa cible. Les perturbations croissantes que vous percevez sur les canaux civils vous font comprendre également que l'ANTIVIRUS n'a absolument pas maîtrisé la trajectoire des débris.
Trois lasers explosent : apparement, ils n'ont pas maîtrisé non plus leur raccordement électrique pirate.
L'incident technique génère une confusion dont vous profitez. Vous ordonnez à votre régiment de dernière génération un assaut immédiat, qui ne se fait pas attendre. Les défenses de l'ANTIVIRUS sont solides, mais elles ne font pas le poids contre les vétérans de Mboasana.
Lorsque leur attaque fulgurante vient à bout de l'installation, vous tentez de joindre votre base pour demander une extraction. Pas de réponse. Vous tentez de passer par des relais radios incorporés à votre uniforme. Silence.
Consultant les dernières informations captées en ligne par votre IA embarquée, vous reconstituez ce qui vient de se produire. Comme vous le craigniez, les débris du satellite militaire détruit ont engendré une réaction en chaîne ayant pulvérisé toute une constellation de satellites civils dans son orbite. L'ensemble des communications concernées a dû être déportée sur les infrastructures terrestres et les câbles sous-marins, complètement saturés. L'internet du Nokanda, et probablement celui de plusieurs autres pays à travers le globe, est complètement grippé.
Les satellites d'observation ont dû être désorbités pour être protégés, et une couche de débris métalliques en orbite basse perturbent les liaisons GPS et les rendent inutilisables.
L'IA n'a rien à vous proposer concernant la radio, mais le grondement sourd du tonnerre au-dessus de vos têtes vous donne votre réponse. L'assemblage laser à très haute énergie de l'ANTIVIRUS a tiré un rayon droit à travers un orage, le saturant au point de le faire éclater. L'atmosphère de toute la région doit désormais être tellement ionisée que toute communication radio est à exclure. Vous vous demandez s'il s'agissait d'un accident ou d'un plan aussi fou que délibéré de l'ANTIVIRUS.
[[Passer ]]Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[Rouler dans les plaines du nord-ouest]]
[[Pénétrer les grottes de l'est]]
[[Arpenter les monts du nord]]Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[Rouler dans les plaines du nord-ouest.]]
[[Pénétrer les grottes de l'est.]]
[[Arpenter les monts du nord.]]Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[ Rouler dans les plaines du nord-ouest.]]
[[ Pénétrer les grottes de l'est.]]
[[ Arpenter les monts du nord.]]Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[ Rouler dans les plaines du nord-ouest. ]]
[[ Pénétrer les grottes de l'est. ]]
[[ Arpenter les monts du nord. ]]Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[ Rouler dans les plaines du nord-ouest. ]]
[[ Pénétrer les grottes de l'est. ]]
[[ Arpenter les monts du nord. ]]
Vous voici donc aveugles, sourds et muets en plein territoire ennemi, sous une pluie croissante et striée d'éclairs. Inutile de poursuivre quelque opération que ce soit : la priorité est de rentrer à la base.
Sans GPS, vous êtes bien en peine de trouver le meilleur chemin. Mais vous n'êtes pas démuni pour le deviner. Consultant l'une des cartes topographiques obligatoirement embarquées à bord de tout VAB, vous en déduisez trois routes possibles pour revenir chez vous sains et saufs.
Vous pouvez reprendre le long chemin à travers les plaines au nord-ouest. Pourvu qu'il reste suffisamment d'essence dans les VAB, vous devriez pouvoir atteindre un agro-complexe où vous pourrez réquisitionner d'autres véhicules pour revenir chez vous. Cependant, le territoire est une zone de haute activité de l'ANTIVIRUS.
Vous pouvez également traverser les monts escarpés du nord à pied. Le chemin est plus rapide, mais probablement très dangereux avec la pluie et le vent battant qui vous assaillent. Un grand observatoire scientifique se trouve dans les hauteurs, et aura certainement moyen de contacter le monde extérieur... si vous avez l'énergie d'y parvenir, et si quelqu'un à la base peut vous répondre.
Enfin, vous pouvez également traverser un réseau de grottes souterraines sous les montagnes à l'est. Il serait difficile pour un soldat ordinaire de les franchir, mais vous pourrez ressortir en terres pacifiées. De là, si vous convainquez la population de vous aider, elle vous indiquera certainement un chemin pour rentrer.
Prenez soigneusement en compte l'état de vos forces et vos décisions passées. Vous n'aurez pas le droit à l'erreur.
[[ Rouler dans les plaines du nord-ouest. ]]
[[ Pénétrer les grottes de l'est. ]]
[[ Arpenter les monts du nord. ]]
[Code : LONESOMECOWBOY]
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<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121031573176.png>
</div>
La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vos ressources de déploiement étant tirées à l'extrême, le carburant restant ne vous permet que de franchir quelques dizaines de kilomètres avant de vous lâcher.
Seuls au milieu d'une terre ennemie battue par les éléments, vous voyez au loin une multitude de phares s'approcher de vous et entendez dez voix éructer des ordres agressifs. Vos hommes prennent position et se préparent à lutter contre leur dernier ennemi.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : THEDESCENT]
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121031864434.png>
</div>
Les grottes s'avèrent un terrain particulièrement traître, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Vos systèmes de vision nocturne et d'analyse LIDAR vous permettent d'en émerger indemne, mais au prix d'une longue errance dans un labyrinthe moite dont vous désespériez de voir la fin.
[[Continuer]][Code : WINDWALKER]
</style>
<img
src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121031309023.png>
</div>
Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
Le capitaine de votre régiment d'élite hurle "NORSKAAAA !" contre la furie des éléments. Vous ignorez quel diable lui passe par la tête, mais ses hommes s'esclaffent joyeusement à son cri. Peu importe, vous n'avez plus la force de vous poser des questions.
[[ Continuer]]Sortis des grottes, vous arpentez la campagne pacifique du centre du Nokanda.
Vous tombez rapidement sur un hameau d'allure humble. Passé leur première surprise à votre arrivée, les habitants se montrent ensuite très prévenants en vous apportant eau et nourriture pendant que vous expliquez votre situation.
A votre surprise au regard de la ruralité du hameau, l'anglais des habitants est parfait. Vous apprenez que ce hameau rural est le refuge de jeunes cadres d'Oligopolis ayant choisi de quitter l'agitation tourbillonnante de la métropole pour une vie plus paisible et plus proche de la nature.
Vous sentez soudain une fièvre terrible vous envahir. Vous vous levez d'un bond et titubez, lâchant l'eau et la nourriture. Une brûlure âpre vous dévore les entrailles. Vos hommes sont dans le même état. Les jeunes habitants du hameau vous regardent d'un air empli de gravité et de colère, alors que vous chutez à terre.
"Vous n'auriez jamais dû venir au Nokanda, bourreau français ! Maintenant, vous allez cesser de faire souffrir notre population. Que votre mort soit notre vie !"
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.L'ascension infernale vous mène aux portes de l'observatoire, dont les scientifiques vous récupèrent en piteux état.
Après leur avoir expliqué votre situation, les scientifiques vous expliquent qu'ils ne disposent malheureusement pas de beaucoup plus de moyens que vous. Le réseau satellite et la fibre sont saturés comme partout ailleurs, et l'air ionisé par l'orage casse les signaux radios.
L'un d'eux vous propose une idée, en échange de leur faire quitter la station avec vous.
Il vous mène à un hangar abritant d'énormes ballons, composés de feuilles de polyéthylène.
Il s'agit d'une flotte de ballons à haute altitude qui devait fournir des services Internet au Nokanda. Ces ballons sont alimentés par des panneaux solaires et contrôlés depuis le sol. Une fois déployés dans la stratosphère, ils agissent comme des «tours de cellules flottantes», transmettant des signaux Internet aux stations au sol et aux appareils personnels.
Le projet a été abandonné voilà plusieurs années mais le matériel reste opérationnel. Une chaîne de ces ballons, convenablement programmés, devrait permettre de relayer à travers l'atmosphère orageuse un signal suffisamment propre et fort pour être entendu par votre base. Vous n'auriez alors plus qu'à attendre les VTOL.
[[Bon retour]]Une fois de retour à la base, vous utilisez des canaux prioritaires à synchronisation quantique pour échanger avec l'Etat-major sur l'état du monde.
Le Nokanda a été très sévèrement touché par cette disruption de son réseau, en particulier Oligopolis qui compte parmi les villes les plus numérisées de la planète. Des émeutes y éclatent déjà face à la chute de nombreux services essentiels.
Mais les autres pays du globe ne sont pas en reste. La plupart des grandes métropoles financières encaissent des pertes retentissantes du fait du ralentissement des transactions. De nombreuses industries 4.0 sont arrêtées dans leur fonctionnement. Le divertissement, relégué en queue des priorités télécoms, est complètement arrêté. Des agriculteurs, des télémédecins des travailleurs isolés dépendant fortement du web se retrouvent paralysés.
L'indignation internationale est à son comble. Par son action irresponsable, l'ANTIVIRUS a attaqué la communauté des nations toute entière. Le Conseil de Sécurité des Nations Unies - Misaya inclus - vote une résolution pour former une alliance contre l'organisation rebelle. Face à une telle coallition succédant à l'opération MAMBA, vous doutez que l'ANTIVIRUS ne tienne plus de quelques jours.
Vous êtes remercié et médaillé par la Présidente de la République française et par le Conseil du Nokanda pour votre bonne gestion du conflit. Votre victoire a cependant un goût amer. Vous auriez préféré que ce conflit, parti de manipulation des réseaux sociaux à des fins économiques, n'eut jamais vu le jour. Et encore moins qu'il eut conduit à l'émergence d'un belligérant désespéré au point d'en recourir à des prises d'otage, des armes bactériologiques, ou la destruction idiote de l'infrastructure de son propre pays.
Mais ainsi est la guerre du milieu du XXIe siècle : un conflit complexe et protéïforme, où l'information est la munition la plus critique et l'esprit une cible plus importante que le corps. Et vous en avez fait un tour d'horizon complet dans cette mission dont vous fûtes le héros. [Code : LONESOMECOWBOY]
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La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vos ressources de déploiement étant tirées à l'extrême, le carburant restant ne vous permet que de franchir quelques dizaines de kilomètres avant de vous lâcher.
Seuls au milieu d'une terre ennemie battue par les éléments, vous voyez au loin une multitude de phares s'approcher de vous et entendez dez voix éructer des ordres agressifs. Vos hommes prennent position et se préparent à lutter contre leur dernier ennemi.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : THEDESCENT]
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Les grottes s'avèrent un terrain particulièrement traître, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Vos systèmes de vision nocturne et d'analyse LIDAR vous permettent d'en émerger indemne, mais au prix d'une longue errance dans un labyrinthe moite dont vous désespériez de voir la fin.
[[Continuer ]][Code : WINDWALKER]
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Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
Le capitaine de votre régiment d'élite hurle "NORSKAAAA !" contre la furie des éléments. Vous ignorez quel diable lui passe par la tête, mais ses hommes s'esclaffent joyeusement à son cri. Peu importe, vous n'avez plus la force de vous poser des questions.
[[Continuer ]]Sortis des grottes, vous arpentez la campagne pacifique du centre du Nokanda.
Vous tombez rapidement sur un hameau d'allure humble. Passé leur première surprise à votre arrivée, les habitants se montrent ensuite très prévenants en vous apportant eau et nourriture pendant que vous expliquez votre situation.
A votre surprise au regard de la ruralité du hameau, l'anglais des habitants est parfait. Vous apprenez que ce hameau rural est le refuge de jeunes cadres d'Oligopolis ayant choisi de quitter l'agitation tourbillonnante de la métropole pour une vie plus paisible et plus proche de la nature.
Vous avez la surprise de découvrir, parmi eux, un éleveur de pigeons voyageur. Par excentricité autant que par conviction, il en a fait son principal moyen d'échanger des nouvelles avec sa famille restée à la capitale. Ses pigeons sont rapides, et il vous propose de relayer à sa tante un message à transmettre à l'ambassade française sur place.
Après réception du message transporté par le pigeon, sa tante transmit rapidement le message aux autorités françaises. Moins d'une journée plus tard, une escadrille de VTOL débarqua près du hameau pour vous ramener à bon port.
[[Bon retour]] L'ascension infernale vous mène aux portes de l'observatoire, dont les scientifiques vous récupèrent en piteux état.
Après leur avoir expliqué votre situation, les scientifiques vous expliquent qu'ils ne disposent malheureusement pas de beaucoup plus de moyens que vous. Le réseau satellite et la fibre sont saturés comme partout ailleurs, et l'air ionisé par l'orage casse les signaux radios.
L'un d'eux vous propose une idée, en échange de leur faire quitter la station avec vous.
Il vous mène à un hangar abritant d'énormes ballons, composés de feuilles de polyéthylène.
Il s'agit d'une flotte de ballons à haute altitude qui devait fournir des services Internet au Nokanda. Ces ballons sont alimentés par des panneaux solaires et contrôlés depuis le sol. Une fois déployés dans la stratosphère, ils agissent comme des «tours de cellules flottantes», transmettant des signaux Internet aux stations au sol et aux appareils personnels.
Le projet a été abandonné voilà plusieurs années mais le matériel reste opérationnel. Une chaîne de ces ballons, convenablement programmés, devrait permettre de relayer à travers l'atmosphère orageuse un signal suffisamment propre et fort pour être entendu par votre base. Vous n'auriez alors plus qu'à attendre les VTOL.
Mais personne ne répond à votre appel.
Vous vous tournez les pouces sur votre montagne, vos hommes dans l'expectative. Aucun signal ne vous répond.
Auriez-vous fait une erreur en partant avec les vétérans de Mboasana ? Auriez-vous laissé trop peu de soldats en état de défendre la base contre une éventuelle attaque ennemie, qui aurait profité de la chute des réseaux pour vous cueillir destabilisés ?
Vous vous morfondez alors que vous cherchez une issue de secours, mais que vous ne pouvez que broyer du noir.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : LONESOMECOWBOY]
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La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vous êtes contraint de les abandonner quelques kilomètres avant la coopérative, que vous rejoignez péniblement à pied en espérant ne pas tomber sur une patrouille de l'ANTIVIRUS.
[[ Continuer ]][Code : THEDESCENT]
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Les grottes s'avèrent particulièrement traîtres, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Privés de leurs systèmes les plus sophistiqués du fait du rationnement de leur matériel, vos soldats sont nombreux à se blesser ou à déceder dans les tunnels.
Démuni, vous ne parvenez pas à trouver de sortie. Vous tournez en rond dans ce labyrinthe moite, la faim et la fatigue gagnant votre corps et celui de vos hommes.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : WINDWALKER]
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Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
Le capitaine de votre régiment d'élite hurle "NORSKAAAA !" contre la furie des éléments. Vous ignorez quel diable lui passe par la tête, mais ses hommes s'esclaffent joyeusement à son cri. Peu importe, vous n'avez plus la force de vous poser des questions.
[[Continuer.]]La coopérative de l'agro-complexe vous accueille avec hospitalité. Elle ne dispose que d'une poignée de véhicules viellissants, et ses propres systèmes télécom souffrent autant de la panne généralisée que vous, mais vous avez la surprise de découvrir le coeur de son activité : l'élevage de chevaux !
Les bêtes ne peuvent pas chevaucher sous cette pluie épouvantable. Mais dès que la pluie aura terminé de chuter, et contre un peu d'aide pour réparer certains pans de son complexe au préalable, l'exploitant accepte de vous laisser emprunter ses animaux pour un aller vers votre base.
Après de nombreuses tentatives dignes des plus grands westerns, vos soldats arrivent à chevaucher les animaux.
Les chevaux de l'exploitant sont des bêtes puissantes et rapides. Ce dernier vous indique un chemin pour contourner les quelques poches d'ANTIVIRUS tenant la zone, et vous ramener en moins d'une journée orageuse à votre base.
Vos soldats se rappelleront souvent de votre entrée en panache dans la base sur votre beau cheval. Vous, vous vous rappellerez surtout du martyr de votre postérieur.
[[Bon retour]] L'ascension infernale vous mène aux portes de l'observatoire, dont les scientifiques vous récupèrent en piteux état.
Après leur avoir expliqué votre situation, les scientifiques vous expliquent qu'ils ne disposent malheureusement pas de beaucoup plus de moyens que vous. Le réseau satellite et la fibre sont saturés comme partout ailleurs, et l'air ionisé par l'orage casse les signaux radios.
L'un d'eux vous propose une idée, en échange de leur faire quitter la station avec vous.
Il vous mène à un hangar abritant d'énormes ballons, composés de feuilles de polyéthylène.
Il s'agit d'une flotte de ballons à haute altitude qui devait fournir des services Internet au Nokanda. Ces ballons sont alimentés par des panneaux solaires et contrôlés depuis le sol. Une fois déployés dans la stratosphère, ils agissent comme des «tours de cellules flottantes», transmettant des signaux Internet aux stations au sol et aux appareils personnels.
Le projet a été abandonné voilà plusieurs années mais le matériel reste opérationnel. Une chaîne de ces ballons, convenablement programmés, devrait permettre de relayer à travers l'atmosphère orageuse un signal suffisamment propre et fort pour être entendu par votre base. Vous n'auriez alors plus qu'à attendre les VTOL.
Mais personne ne répond à votre appel.
Vous vous tournez les pouces sur votre montagne, vos hommes dans l'expectative. Aucun signal ne vous répond.
Auriez-vous fait une erreur en partant avec les vétérans de Mboasana ? Auriez-vous laissé trop peu de soldats en état de défendre la base contre une éventuelle attaque ennemie, qui aurait profité de la chute des réseaux pour vous cueillir destabilisés ?
Vous vous morfondez alors que vous cherchez une issue de secours, mais que vous ne pouvez que broyer du noir.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : LONESOMECOWBOY]
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La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vous êtes contraint de les abandonner quelques kilomètres avant la coopérative, que vous rejoignez péniblement à pied en espérant ne pas tomber sur une patrouille de l'ANTIVIRUS.
[[ Continuer ]][Code : THEDESCENT]
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Les grottes s'avèrent particulièrement traîtres, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Privés de leurs systèmes les plus sophistiqués du fait du rationnement de leur matériel, vos soldats sont nombreux à se blesser ou à déceder dans les tunnels.
Démuni, vous ne parvenez pas à trouver de sortie. Vous tournez en rond dans ce labyrinthe moite, la faim et la fatigue gagnant votre corps et celui de vos hommes.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : WINDWALKER]
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Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
Le capitaine de votre régiment d'élite hurle "NORSKAAAA !" contre la furie des éléments. Vous ignorez quel diable lui passe par la tête, mais ses hommes s'esclaffent joyeusement à son cri. Peu importe, vous n'avez plus la force de vous poser des questions.
[[ Continuer ]][Code : LONESOMECOWBOY]
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src=https://nsa40.casimages.com/img/2021/04/10/210410121031573176.png>
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La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vous êtes contraint de les abandonner quelques kilomètres avant la coopérative, que vous rejoignez péniblement à pied en espérant ne pas tomber sur une patrouille de l'ANTIVIRUS.
[[ Continuer]][Code : THEDESCENT]
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Les grottes s'avèrent un terrain particulièrement traître, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Vos systèmes de vision nocturne et d'analyse LIDAR vous permettent d'en émerger indemne, mais au prix d'une longue errance dans un labyrinthe moite dont vous désespériez de voir la fin.
[[ Continuer ]][Code : WINDWALKER]
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Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
C'est l'épreuve de trop. Poussés à bout par un régime d'intervention impitoyable pendant plusieurs semaines, vos hommes s'évanouissent, ou sont emportés dans le vide par les bourrasques. Vous sentez vos propres forces vous abandonner, alors que la fatigue accumulée prend possession de vous.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.[Code : LONESOMECOWBOY]
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La traversée des plaines s'avère beaucoup plus complexe qu'à l'aller. Le terrain rendu boueux par la pluie enlise vos VAB et vous fait perdre un kérosène précieux. Vous êtes contraint de les abandonner quelques kilomètres avant la coopérative, que vous rejoignez péniblement à pied en espérant ne pas tomber sur une patrouille de l'ANTIVIRUS.
[[ Continuer ]][Code : THEDESCENT]
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Les grottes s'avèrent un terrain particulièrement traître, l'obscurité masquant crevasses glissantes, éboulements en équilibre instable et rochers coupants comme des rasoirs. Vos systèmes de vision nocturne et d'analyse LIDAR vous permettent d'en émerger indemne, mais au prix d'une longue errance dans un labyrinthe moite dont vous désespériez de voir la fin.
[[ Continuer]][Code : WINDWALKER]
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Sous la pluie et la tempête, les pentes escarpées se révèlent être l'une des expériences les plus éprouvantes de votre vie. Chacun de vous déploie toutes ses forces pour marcher contre le vent, livrés à vous mêmes, dans un sol boueux et froid qui sape votre énergie.
C'est l'épreuve de trop. Poussés à bout par un régime d'intervention impitoyable pendant plusieurs semaines, vos hommes s'évanouissent, ou sont emportés dans le vide par les bourrasques. Vous sentez vos propres forces vous abandonner, alors que la fatigue accumulée prend possession de vous.
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.La coopérative de l'agro-complexe vous accueille avec froideur. Exténués, vous tentez d'expliquer à l'exploitant votre situation. Mais ses réactions détachées ne vous inspirent pas confiance.
Soudain, des portes s'ouvrent en claquant. Des voix éructent des ordres furieux, et des balles fendent les gouttes de pluie.
Vous vous effondrez alors que vos hommes prennent position pour contre-attaquer. Bien sûr. L'ANTIVIRUS a prospéré. Ils ont pu se saisir de cette installation à la faveur de leur nombre, et de beaucoup d'autres dans ces terres. Bonnes structures pour une fortification... bien positio...
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.L'ascension infernale vous mène aux portes de l'observatoire, dont les scientifiques vous récupèrent en piteux état.
Après leur avoir expliqué votre situation, les scientifiques vous expliquent qu'ils ne disposent malheureusement pas de beaucoup plus de moyens que vous. Le réseau satellite et la fibre sont saturés comme partout ailleurs, et l'air ionisé par l'orage casse les signaux radios.
L'un d'eux vous propose une idée, en échange de leur faire quitter la station avec vous.
Il vous mène à un hangar abritant d'énormes ballons, composés de feuilles de polyéthylène.
Il s'agit d'une flotte de ballons à haute altitude qui devait fournir des services Internet au Nokanda. Ces ballons sont alimentés par des panneaux solaires et contrôlés depuis le sol. Une fois déployés dans la stratosphère, ils agissent comme des «tours de cellules flottantes», transmettant des signaux Internet aux stations au sol et aux appareils personnels.
Le projet a été abandonné voilà plusieurs années mais le matériel reste opérationnel. Une chaîne de ces ballons, convenablement programmés, devrait permettre de relayer à travers l'atmosphère orageuse un signal suffisamment propre et fort pour être entendu par votre base. Vous n'auriez alors plus qu'à attendre les VTOL.
[[Bon retour]] La coopérative de l'agro-complexe vous accueille avec hospitalité. Elle ne dispose que d'une poignée de véhicules viellissants, et ses propres systèmes télécom souffrent autant de la panne généralisée que vous, mais vous avez la surprise de découvrir le coeur de son activité : l'élevage de chevaux !
Les bêtes ne peuvent pas chevaucher sous cette pluie épouvantable. Mais dès que la pluie aura terminé de chuter, et contre un peu d'aide pour réparer certains pans de son complexe au préalable, l'exploitant accepte de vous laisser emprunter ses animaux pour un aller vers votre base.
Après de nombreuses tentatives dignes des plus grands westerns, vos soldats arrivent à chevaucher les animaux.
Les chevaux de l'exploitant sont des bêtes puissantes et rapides. Ce dernier vous indique un chemin pour contourner les quelques poches d'ANTIVIRUS tenant la zone, et vous ramener en moins d'une journée orageuse à votre base.
Vos soldats se rappelleront souvent de votre entrée en panache dans la base sur votre beau cheval. Vous, vous vous rappellerez surtout du martyr de votre postérieur.
[[Bon retour]] Sortis des grottes, vous arpentez la campagne pacifique du centre du Nokanda.
Vous tombez rapidement sur un hameau d'allure humble. Passé leur première surprise à votre arrivée, les habitants se montrent ensuite très prévenants en vous apportant eau et nourriture pendant que vous expliquez votre situation.
A votre surprise au regard de la ruralité du hameau, l'anglais des habitants est parfait. Vous apprenez que ce hameau rural est le refuge de jeunes cadres d'Oligopolis ayant choisi de quitter l'agitation tourbillonnante de la métropole pour une vie plus paisible et plus proche de la nature.
Vous sentez soudain une fièvre terrible vous envahir. Vous vous levez d'un bond et titubez, lâchant l'eau et la nourriture. Une brûlure âpre vous dévore les entrailles. Vos hommes sont dans le même état. Les jeunes habitants du hameau vous regardent d'un air empli de gravité et de colère, alors que vous chutez à terre.
"Vous n'auriez jamais dû venir au Nokanda, bourreau français ! Maintenant, vous allez cesser de faire souffrir notre population. Que votre mort soit notre vie !"
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.La coopérative de l'agro-complexe vous accueille avec froideur. Exténués, vous tentez d'expliquer à l'exploitant votre situation. Mais ses réactions détachées ne vous inspirent pas confiance.
Soudain, des portes s'ouvrent en claquant. Des voix éructent des ordres furieux, et des balles fendent les gouttes de pluie.
Vous vous effondrez alors que vos hommes prennent position pour contre-attaquer. Bien sûr. L'ANTIVIRUS a prospéré. Ils ont pu se saisir de cette installation à la faveur de leur nombre, et de beaucoup d'autres dans ces terres. Bonnes structures pour une fortification... bien positio....
C'est une défaite pour l'opération MAMBA. Mais tout n'est pas perdu ! Vous pouvez rejouer votre partie et prendre de nouvelles décisions tactiques pour aller vers la victoire.Sortis des grottes, vous arpentez la campagne pacifique du centre du Nokanda.
Vous tombez rapidement sur un hameau d'allure humble. Passé leur première surprise à votre arrivée, les habitants se montrent ensuite très prévenants en vous apportant eau et nourriture pendant que vous expliquez votre situation.
A votre surprise au regard de la ruralité du hameau, l'anglais des habitants est parfait. Vous apprenez que ce hameau rural est le refuge de jeunes cadres d'Oligopolis ayant choisi de quitter l'agitation tourbillonnante de la métropole pour une vie plus paisible et plus proche de la nature.
Vous avez la surprise de découvrir, parmi eux, un éleveur de pigeons voyageur. Par excentricité autant que par conviction, il en a fait son principal moyen d'échanger des nouvelles avec sa famille restée à la capitale. Ses pigeons sont rapides, et il vous propose de relayer à sa tante un message à transmettre à l'ambassade française sur place.
Après réception du message transporté par le pigeon, sa tante transmit rapidement le message aux autorités françaises. Moins d'une journée plus tard, une escadrille de VTOL débarqua près du hameau pour vous ramener à bon port.
[[Bon retour]]